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Actualités - OPINION

Notre ami Ghassan

Depuis l’âge de 24 ans jusqu’hier, c’est-à-dire jusqu’aux perspectives d’avenir de la démocratie libanaise, Ghassan Tuéni n’a pas cessé de nous écrire, peut-être même de nous éblouir de ses conférences sur tous les sujets. Il faut ajouter à cela son action d’ordre culturel à l’Université de Balamand, ses discours prononcés à la Chambre libanaise ou à l’ONU, les éditoriaux du «Nahar» et nous aurons un panorama de l’extraordinaire vitalité de cet homme encore jeune, à la plume infatigable et à l’esprit encore plus dynamique dans toutes les langues.
Peut-être ferais-je un jour prochain, une analyse de ses écrits dans le domaine de la politique et de la connaissance. Il a été député, vice-président du Conseil des ministres, délégué personnel du président de la République dans les jours de la guerre du 5 juin plus un certain nombre de titres qu’il serait très long d’énumérer. J’ajoute à cela comme un piment, après le dîner, sa détention quelque temps à la prison des sables pour son excès de franchise contre l’Etat; il en est sorti, je crois, pour redevenir vice-président du Conseil.
Depuis lors, il a souvent occupé les premières places possibles pour un homme de son âge et de sa communauté. il a épousé après le décès de sa chère Nadia, une deuxième femme qui a sans doute, dans bien de domaines, les qualités de la première.
Quand parfois il vient me voir, je me dis que c’est l’un des rares libanais qui m’impressionnent beaucoup, je pense qu’il est l’un des hommes les plus capables de toutes les fonctions et de toutes les missions. Mais je me suis promis de parler une autre fois de lui.
Qu’on veuille bien m’attendre.
Depuis l’âge de 24 ans jusqu’hier, c’est-à-dire jusqu’aux perspectives d’avenir de la démocratie libanaise, Ghassan Tuéni n’a pas cessé de nous écrire, peut-être même de nous éblouir de ses conférences sur tous les sujets. Il faut ajouter à cela son action d’ordre culturel à l’Université de Balamand, ses discours prononcés à la Chambre libanaise ou à...