Aucun progrès ne semble avoir été enregistré dans les entretiens que le ministre d’Etat chargé des Affaires financières Fouad Siniora vient d’avoir à Bruxelles au sujet du projet de partenariat entre l’Union européenne et le Liban. C’est ce qu’affirment des sources dignes de foi qui précisent que la position du gouvernement libanais concernant le projet de partenariat avec l’U.E. a été au centre des discussions que M. Siniora a eues à Bruxelles avec M. Manuel Marin, vice-président de la Commission européenne.
Selon les sources susmentionnées, les milieux européens ont indiqué, au terme des entretiens avec M. Siniora, qu’aucun nouvel élément n’est apparu dans la position officielle libanaise concernant les pourparlers sur le partenariat euro-méditerranéen. M. Siniora s’est contenté de réaffirmer la détermination du Liban à faire aboutir ces négociations dans les plus brefs délais.
Cet attentisme du gouvernement libanais sur ce plan serait dû, selon certains observateurs, soit au désir du Liban d’améliorer les conditions du partenariat, soit à une volonté de coordonner la position officielle à ce sujet avec la Syrie. En tout état de cause, ce dossier sera examiné au cours d’un entretien que M. Marin aura prochainement avec le premier ministre Rafic Hariri.
Il convient d’indiquer qu’à l’issue de sa visite à Bruxelles, M. Siniora s’est rendu à Londres où il doit participer à une conférence sur les «opportunités d’investissement dans la région méditerranéenne», organisée par le Royal Institute of Foreign Affairs, en association avec le ministère britannique des Affaires étrangères et la Commission européenne.
L’idée d’une telle conférence avait été lancée en novembre 1995 à Barcelone lors du sommet euro-méditerranéen par le secrétaire britannique au Foreign Office Malcolm Rifkind.
Son but est d’informer les institutions financières et les milieux d’affaires des pays de l’Union européenne sur les perspectives d’investissement et les législations dans les douze pays du partenariat euro-méditerranéen. Elle vise également à renforcer les échanges commerciaux entre l’UE et ces pays (Algérie, Maroc, Tunisie, Malte, Chypre, Egypte, Israël, l’Autorité palestinienne, Syrie, Jordanie, Liban, Turquie).
M. Rifkind ouvrira aujourd’hui, jeudi, la conférence, qui se tient sur deux jours. Parmi les orateurs figurent aussi le prince héritier Hassan de Jordanie, et le vice-président de la Commission européenne. Des représentants des douze pays du pourtour méditerranéen seront également présents.
Selon les sources susmentionnées, les milieux européens ont indiqué, au terme des entretiens avec M. Siniora, qu’aucun nouvel élément n’est apparu dans la position officielle libanaise concernant les pourparlers sur le partenariat euro-méditerranéen. M. Siniora s’est contenté de réaffirmer la détermination du Liban à faire aboutir ces négociations dans les plus brefs délais.
Cet attentisme du gouvernement libanais sur ce plan serait dû, selon certains observateurs, soit au désir du Liban d’améliorer les conditions du partenariat, soit à une volonté de coordonner la position officielle à ce sujet avec la Syrie. En tout état de cause, ce dossier sera examiné au cours d’un entretien que M. Marin aura prochainement avec le premier ministre Rafic Hariri.
Il convient d’indiquer qu’à l’issue de sa visite à Bruxelles, M. Siniora s’est rendu à Londres où il doit participer à une conférence sur les «opportunités d’investissement dans la région méditerranéenne», organisée par le Royal Institute of Foreign Affairs, en association avec le ministère britannique des Affaires étrangères et la Commission européenne.
L’idée d’une telle conférence avait été lancée en novembre 1995 à Barcelone lors du sommet euro-méditerranéen par le secrétaire britannique au Foreign Office Malcolm Rifkind.
Son but est d’informer les institutions financières et les milieux d’affaires des pays de l’Union européenne sur les perspectives d’investissement et les législations dans les douze pays du partenariat euro-méditerranéen. Elle vise également à renforcer les échanges commerciaux entre l’UE et ces pays (Algérie, Maroc, Tunisie, Malte, Chypre, Egypte, Israël, l’Autorité palestinienne, Syrie, Jordanie, Liban, Turquie).
M. Rifkind ouvrira aujourd’hui, jeudi, la conférence, qui se tient sur deux jours. Parmi les orateurs figurent aussi le prince héritier Hassan de Jordanie, et le vice-président de la Commission européenne. Des représentants des douze pays du pourtour méditerranéen seront également présents.
Aucun progrès ne semble avoir été enregistré dans les entretiens que le ministre d’Etat chargé des Affaires financières Fouad Siniora vient d’avoir à Bruxelles au sujet du projet de partenariat entre l’Union européenne et le Liban. C’est ce qu’affirment des sources dignes de foi qui précisent que la position du gouvernement libanais concernant le projet de...
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