Cheikh Sobhi Toufayli, ancien secrétaire général du Hezbollah, a vivement critiqué l’arrestation par les services de sécurité libanais de membres présumés de l’Armée rouge japonaise.
«Les autorités libanaises ont arrêté un homme qui serait l’un des auteurs de l’attaque héroïque de Lod et qui a tout sacrifié pour notre cause. Elles le traitent en criminel et veulent le vendre», a déclaré cheikh Toufayli avait d’estimer que «ce qui se passe est odieux».
Cheikh Toufayli faisait référence à Kozo Okamoto, figure légendaire de l’Armée rouge japonaise. Il est le seul survivant des trois membres d’un commando qui a massacré 26 personnes et blessé 80 autres à l’aéroport de Lod, près de Tel-Aviv, en mai 1972.
La «Sécurité de l’Etat», relevant théoriquement du premier ministre, M. Rafic Hariri, a arrêté le 16 février cinq à dix Japonais (le chiffre variant selon les sources) soupçonnés d’appartenir à l’Armée rouge, et une Libanaise, Oumayya Abboud, qui serait en relation avec eux.
Le Japon a dépêché au Liban des responsables spécialisés dans la lutte antiterroriste et a réclamé l’extradition des membres de l’Armée rouge.
Une semaine après l’ouverture de l’enquête, les responsables n’ont toujours pas indiqué si les Japonais arrêtés, dont le nombre exact est également tenu secret, appartiennent ou non à l’Armée rouge japonaise.
Vendredi, le ministre de l’Intérieur, M. Michel Murr, avait entretenu la confusion en affirmant qu’aucun de ses services ne détenait des Japonais.
A son tour, le procureur de la République, M. Adnan Addoum, qui a rencontré vendredi le chef de la «Sécurité de l’Etat», le brigadier Nabih Farhat, ne cesse d’affirmer qu’il «n’est pas en possession du dossier des Japonais».
«Les autorités libanaises ont arrêté un homme qui serait l’un des auteurs de l’attaque héroïque de Lod et qui a tout sacrifié pour notre cause. Elles le traitent en criminel et veulent le vendre», a déclaré cheikh Toufayli avait d’estimer que «ce qui se passe est odieux».
Cheikh Toufayli faisait référence à Kozo Okamoto, figure légendaire de l’Armée rouge japonaise. Il est le seul survivant des trois membres d’un commando qui a massacré 26 personnes et blessé 80 autres à l’aéroport de Lod, près de Tel-Aviv, en mai 1972.
La «Sécurité de l’Etat», relevant théoriquement du premier ministre, M. Rafic Hariri, a arrêté le 16 février cinq à dix Japonais (le chiffre variant selon les sources) soupçonnés d’appartenir à l’Armée rouge, et une Libanaise, Oumayya Abboud, qui serait en relation avec eux.
Le Japon a dépêché au Liban des responsables spécialisés dans la lutte antiterroriste et a réclamé l’extradition des membres de l’Armée rouge.
Une semaine après l’ouverture de l’enquête, les responsables n’ont toujours pas indiqué si les Japonais arrêtés, dont le nombre exact est également tenu secret, appartiennent ou non à l’Armée rouge japonaise.
Vendredi, le ministre de l’Intérieur, M. Michel Murr, avait entretenu la confusion en affirmant qu’aucun de ses services ne détenait des Japonais.
A son tour, le procureur de la République, M. Adnan Addoum, qui a rencontré vendredi le chef de la «Sécurité de l’Etat», le brigadier Nabih Farhat, ne cesse d’affirmer qu’il «n’est pas en possession du dossier des Japonais».
Cheikh Sobhi Toufayli, ancien secrétaire général du Hezbollah, a vivement critiqué l’arrestation par les services de sécurité libanais de membres présumés de l’Armée rouge japonaise.«Les autorités libanaises ont arrêté un homme qui serait l’un des auteurs de l’attaque héroïque de Lod et qui a tout sacrifié pour notre cause. Elles le traitent en criminel et...
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