Le premier ministre japonais Hashimoto a confirmé aux premières heures de ce mardi que son pays avait été informé de l’arrestation de cinq ou six membres de l’Armée Rouge japonaise au Liban, rapporte une dépêche de l’AFP datée de Tokyo.
«Nous avons obtenu une telle information», a-t-il dit aux journalistes devant sa résidence. «Cinq ou six personnes (arrêtées) serait le chiffre approprié», a-t-il ajouté.
Plusieurs grands quotidiens ainsi que la chaîne de télévision publique NHK ont annoncé ce matin l’arrestation au Liban de cinq à six membres de l’Armée Rouge japonaise, y compris Kozo Okamoto, l’un de ses principaux dirigeants.
La police japonaise a déjà envoyé une mission au Liban pour tenter de confirmer leur identité, selon la NHK.
L’Armée Rouge japonaise, groupuscule d’extrême gauche fondé au début des années soixante-dix, est responsable de plusieurs actes de terrorisme, y compris l’attentat perpétré sur l’aéroport de Tel-Aviv qui fit 26 morts et 80 blessés le 30 mai 1972.
Kozo Okamoto est impliqué dans l’attentat contre l’aéroport de Tel-Aviv.
Les principaux activistes de l’Armée Rouge japonaise, la «Sekigun» en japonais, s’étaient installés dans la plaine de la Békaa au Liban dès les années soixante-dix.
«Nous avons obtenu une telle information», a-t-il dit aux journalistes devant sa résidence. «Cinq ou six personnes (arrêtées) serait le chiffre approprié», a-t-il ajouté.
Plusieurs grands quotidiens ainsi que la chaîne de télévision publique NHK ont annoncé ce matin l’arrestation au Liban de cinq à six membres de l’Armée Rouge japonaise, y compris Kozo Okamoto, l’un de ses principaux dirigeants.
La police japonaise a déjà envoyé une mission au Liban pour tenter de confirmer leur identité, selon la NHK.
L’Armée Rouge japonaise, groupuscule d’extrême gauche fondé au début des années soixante-dix, est responsable de plusieurs actes de terrorisme, y compris l’attentat perpétré sur l’aéroport de Tel-Aviv qui fit 26 morts et 80 blessés le 30 mai 1972.
Kozo Okamoto est impliqué dans l’attentat contre l’aéroport de Tel-Aviv.
Les principaux activistes de l’Armée Rouge japonaise, la «Sekigun» en japonais, s’étaient installés dans la plaine de la Békaa au Liban dès les années soixante-dix.
Le premier ministre japonais Hashimoto a confirmé aux premières heures de ce mardi que son pays avait été informé de l’arrestation de cinq ou six membres de l’Armée Rouge japonaise au Liban, rapporte une dépêche de l’AFP datée de Tokyo.«Nous avons obtenu une telle information», a-t-il dit aux journalistes devant sa résidence. «Cinq ou six personnes (arrêtées)...
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