Ce messager de l’amour fleur bleue a séduit son public avec ses mélodies et son image de musicien sage et simple.
Un public composé d’amoureux certes — St-Valentin oblige — de jeunes et de moins jeunes, mais aussi de nombreux pianistes en herbe faisant leurs exercices sur la musique claydermanienne.
Les sympathisants avec ce genre de musique «easy listening» ont pu apprécier des mélodies: Brasilia, Love is in the air, Autant en emporte le vent, Have I told you lately, Killing me softly, Aquarella, Don’t cry for me Argentina… mais aussi plusieurs pots pourris. Il y a le romantique: A comme Amour, Lettre à ma mère, Ballade pour Adeline… L’hommage aux Beatles «Hey jude», «Get back», «Yesterday» et finale avec un «Hymne à l’amour» tonitruant...
Richard Clayderman, c’est, on le sait, 65 millions d’albums vendus dans le monde, 239 disques d’or et 60 de platine. Et pas un centimètre de plus, tour de tête.
M.G.
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