Plusieurs dirigeants arabes savent que l’imam Moussa Sadr, disparu en 1978 dans la foulée d’une visite en Libye, a été «liquidé» dans ce pays, a affirmé le chef du Conseil supérieur chiite, cheikh Mohammad Mehdi Chamseddine.
`Dans une interview au quotidien «Al-Liwa», cheikh Chamseddine affirme pouvoir «nommer plusieurs chefs d’Etat arabes toujours vivants» qui «ont découvert la vérité avec des preuves indiscutables». «Mais je dois d’abord leur demander si je peux les nommer», ajoute cheikh Chamseddine, qui cite seulement l’ancien président algérien défunt Houari Boumedienne.
«Des pays arabes ont envoyé secrètement des équipes d’enquête en Libye à l’insu même des autorités libyennes. Ces enquêtes ont prouvé que le crime avait été perpétré en Libye», affirme encore le président du CSC qui tient le régime du colonel Khadafi pour responsable du meurtre.
Cheikh Chamseddine accuse également Tripoli d’avoir monté une mise en scène en envoyant les valises et quelques vêtements de l’imam dans un hôtel en Italie.
«Toutes les enquêtes menées à l’époque ont prouvé que l’imam et les deux personnes qui l’accompagnaient n’ont jamais quitté la Libye et n’ont jamais embarqué à bord du vol Alitalia 881 qui est parti de Tripoli le 31 août 1978».
Le mouvement Amal a de son côté rejeté tard lundi soir une proposition du colonel Khadafi de mettre sur pied une commission d’enquête libano-libyenne, qualifiant le dirigeant libyen de «fou». «Amal continue à tenir les autorités libyennes, et Kadhafi en personne, responsables de la disparition de l’imam», indique le communiqué.
`Dans une interview au quotidien «Al-Liwa», cheikh Chamseddine affirme pouvoir «nommer plusieurs chefs d’Etat arabes toujours vivants» qui «ont découvert la vérité avec des preuves indiscutables». «Mais je dois d’abord leur demander si je peux les nommer», ajoute cheikh Chamseddine, qui cite seulement l’ancien président algérien défunt Houari Boumedienne.
«Des pays arabes ont envoyé secrètement des équipes d’enquête en Libye à l’insu même des autorités libyennes. Ces enquêtes ont prouvé que le crime avait été perpétré en Libye», affirme encore le président du CSC qui tient le régime du colonel Khadafi pour responsable du meurtre.
Cheikh Chamseddine accuse également Tripoli d’avoir monté une mise en scène en envoyant les valises et quelques vêtements de l’imam dans un hôtel en Italie.
«Toutes les enquêtes menées à l’époque ont prouvé que l’imam et les deux personnes qui l’accompagnaient n’ont jamais quitté la Libye et n’ont jamais embarqué à bord du vol Alitalia 881 qui est parti de Tripoli le 31 août 1978».
Le mouvement Amal a de son côté rejeté tard lundi soir une proposition du colonel Khadafi de mettre sur pied une commission d’enquête libano-libyenne, qualifiant le dirigeant libyen de «fou». «Amal continue à tenir les autorités libyennes, et Kadhafi en personne, responsables de la disparition de l’imam», indique le communiqué.
Plusieurs dirigeants arabes savent que l’imam Moussa Sadr, disparu en 1978 dans la foulée d’une visite en Libye, a été «liquidé» dans ce pays, a affirmé le chef du Conseil supérieur chiite, cheikh Mohammad Mehdi Chamseddine.`Dans une interview au quotidien «Al-Liwa», cheikh Chamseddine affirme pouvoir «nommer plusieurs chefs d’Etat arabes toujours vivants» qui «ont...
Les plus commentés
Après Bou Saab, Alain Aoun : la démarche de limogeage mise sur les rails
Oussama Hamdane : Nous avons accepté l’accord de trêve sans renoncer à nos constantes
Don européen : suite à la levée de boucliers, Berry et Mikati s’activent