L’ancien ministre Joseph Hachem a estimé hier que le taux des déplacés qui sont rentrés au Chouf n’a pas dépassé les 7% sur une population de 250.000 chrétiens. Affirmant que le processus du retour est indispensable à la réalisation de l’entente nationale, M. Hachem a souhaité que le chef du gouvernement, M. Rafic Hariri, contrôle lui-même la dépense des crédits alloués à cette fin.
L’ancien ministre a tenu ces propos à l’issue d’un entretien avec le patriarche maronite, le cardinal Nasrallah Sfeir. A sa sortie de Bkerké, il a notamment déploré la polémique qui a opposé ces derniers temps les responsables au sein du pouvoir. M. Hachem a déclaré à ce sujet: «Le Liban a connu beaucoup d’épreuves dans le passé mais les hommes étaient alors aptes à les assumer. En effet, il n’y avait pas une inquiétude collective concernant l’avenir du pays», a-t-il ajouté.
Par ailleurs, le patriarche maronite a reçu l’ambassadeur du Soudan, M. Osman el-Dirdeiri, venu informer le prélat des derniers développements dans son pays.
Le diplomate a notamment accusé l’Ethiopie d’être l’exécutant d’un complot israélo-américain fomenté contre le Soudan.
A la question de savoir si le conflit dans son pays n’était pas en réalité une guerre civile, M. el-Dirdeiri a répondu: «L’agression est éthiopienne. D’ailleurs, il y a des troupes éthiopiennes à l’intérieur du Soudan. Nous ne nions pas l’existence d’une opposition au régime mais les Soudanais sont tout à fait capables de régler leurs différends internes», a-t-il dit avant d’indiquer que la «mobilisation générale» a été décrétée dans son pays «pour protéger ses frontières avec l’Ouganda, l’Ethiopie et l’Erythrée».
Enfin, Mgr Sfeir a reçu une délégation de la Banque nationale des yeux qui l’a informé de ses activités et des greffes de cornées entreprises gratuitement grâce à des donations.
Le porte-parole de la délégation a précisé que 700 opérations de ce genre avaient déjà été effectuées et a lancé un appel à des dons supplémentaires de cornées.
L’ancien ministre a tenu ces propos à l’issue d’un entretien avec le patriarche maronite, le cardinal Nasrallah Sfeir. A sa sortie de Bkerké, il a notamment déploré la polémique qui a opposé ces derniers temps les responsables au sein du pouvoir. M. Hachem a déclaré à ce sujet: «Le Liban a connu beaucoup d’épreuves dans le passé mais les hommes étaient alors aptes à les assumer. En effet, il n’y avait pas une inquiétude collective concernant l’avenir du pays», a-t-il ajouté.
Par ailleurs, le patriarche maronite a reçu l’ambassadeur du Soudan, M. Osman el-Dirdeiri, venu informer le prélat des derniers développements dans son pays.
Le diplomate a notamment accusé l’Ethiopie d’être l’exécutant d’un complot israélo-américain fomenté contre le Soudan.
A la question de savoir si le conflit dans son pays n’était pas en réalité une guerre civile, M. el-Dirdeiri a répondu: «L’agression est éthiopienne. D’ailleurs, il y a des troupes éthiopiennes à l’intérieur du Soudan. Nous ne nions pas l’existence d’une opposition au régime mais les Soudanais sont tout à fait capables de régler leurs différends internes», a-t-il dit avant d’indiquer que la «mobilisation générale» a été décrétée dans son pays «pour protéger ses frontières avec l’Ouganda, l’Ethiopie et l’Erythrée».
Enfin, Mgr Sfeir a reçu une délégation de la Banque nationale des yeux qui l’a informé de ses activités et des greffes de cornées entreprises gratuitement grâce à des donations.
Le porte-parole de la délégation a précisé que 700 opérations de ce genre avaient déjà été effectuées et a lancé un appel à des dons supplémentaires de cornées.
L’ancien ministre Joseph Hachem a estimé hier que le taux des déplacés qui sont rentrés au Chouf n’a pas dépassé les 7% sur une population de 250.000 chrétiens. Affirmant que le processus du retour est indispensable à la réalisation de l’entente nationale, M. Hachem a souhaité que le chef du gouvernement, M. Rafic Hariri, contrôle lui-même la dépense des crédits...
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