Michel Moawad, membre du secrétariat général des forces du 14 Mars, a entamé une visite de deux semaines en Australie. Rencontrant la diaspora libanaise qui l'a accueilli à Sydney et qui compte beaucoup d'émigrés originaires de Zghorta, il a indiqué que « la bataille actuelle est celle d'un Liban État de droit et pays où règne la sécurité, et un Liban champ de bataille et îlot d'insécurité ».
Makari dénonce l'utilisation des fonds des caisses à des buts électoraux
Le vice-président de la Chambre, Farid Makari, a estimé que de l'argent est dilapidé par certaines caisses, notamment la Conseil du Sud et la Caisse des déplacés. Il a souhaité que l'on parvienne à une solution concernant ces caisses, estimant qu'il est inadmissible d'utiliser des fonds appartenant à ces caisses à des buts électoraux. M. Makari a également refusé de comparer ces caisses avec le CDR qui est chargé de très importants projets et qui a prouvé son efficacité au fil des ans.
Houri rappelle que le tribunal spécial entamera son travail dans un mois
Le député de Beyrouth, Ammar Houri, a souligné qu'un « mois nous sépare du début des travaux du tribunal spécial pour le Liban sur l'assassinat de Rafic Hariri, et certains sont de plus en plus inquiets ». « Parmi eux, il y a ceux qui lancent des bombes fumigènes espérant qu'ils pourraient ainsi cacher la vérité », a-t-il estimé.
Adwan appelle l'État à se prononcer concernant le dossier des diplomates iraniens
Le vice-président du comité exécutif des Forces libanaises, le député Georges Adwan, a estimé que les hommes politiques devraient assumer la responsabilité de calmer le jeu. Il a souligné que l'État libanais dispose du dossier des diplomates iraniens, appelant le gouvernement à se prononcer à ce sujet. Il a indiqué qu'il aurait souhaité que l'ambassade d'Iran à Beyrouth remette ce dossier sur le tapis, et non une partie libanaise.