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Santé

En résumé

Naissance
d'un « marqueur »
de l'état de conscience


Est-il possible, en observant l'activité de son cerveau, de déterminer si un patient dans le coma est conscient ? Oui, répond une équipe de l'Inserm qui a mis au point un « stimulus auditif » capable de faire réagir le cerveau du malade alors même qu'il est incapable de communiquer à la voix. Une première.
Le nouveau test repose sur une idée somme toute assez simple : il s'agit d'une série de sons réguliers, entrecoupés d'autres sons, irréguliers cette fois. Concrètement, voilà ce qu'écoute le patient : plusieurs « AAAAB » et d'un coup un « AAAAA ». Or « pour que la personne remarque le changement de sons, elle doit nécessairement être consciente » précisent les auteurs.
Attention, il n'est question ici que de déceler un état de conscience « cérébrale » minimale. Cette innovation concerne au premier chef des malades dans le coma, ou en état végétatif. « Nous recherchons ainsi la signature électrique d'une réponse cérébrale », concluent les auteurs. Ce nouvel outil devrait permettre d'améliorer la prise en charge difficile de ces malades et surtout « d'identifier au plus tôt leur retour à la conscience afin d'engager une communication ».

Les vertus de la sauge sont dans ses feuilles

Qui ne connaît salvia officinalis ? C'est une plante d'aspect un peu gras, qui constitue un ornement classique de nos plates-bandes.
Les feuilles de la sauge, d'un beau vert foncé un peu grisé, intéressent les adeptes de la phytothérapie et non pas ses fleurs rouges par ailleurs fort décoratives. Celles-ci contiennent en effet une huile essentielle riche en essences qu'on trouve également dans certains conifères, du tanin et un principe actif au goût amer. Cette richesse en composés chimiques actifs leur confère des propriétés intéressantes dans plusieurs domaines.
On les utilise en fait en infusions pour traiter les troubles de la ménopause, les manifestations du syndrome prémenstruel et les règles difficiles. Mais on en recommande aussi l'usage dans les cas de transpiration anormale ou excessivement abondante, dans les états fébriles, de même que pour traiter un certain nombre de troubles neurovégétatifs : « palpitations », bouffées d'angoisses, sensations vertigineuses sans cause organique déterminée.

Source : Destination Santé

Naissance d'un « marqueur » de l'état de conscience
Est-il possible, en observant l'activité de son cerveau, de déterminer si un patient dans le coma est conscient ? Oui, répond une équipe de l'Inserm qui a mis au point un « stimulus auditif » capable de faire réagir le cerveau du malade alors...

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