L’une des entrées secondaires de la Banque du Liban, située dans le quartier de Hamra, à Beyrouth. Photo P.H.B.
Le 1er juillet, la Banque du Liban (BDL) publiait sa circulaire n° 169 à travers laquelle elle indique vouloir « assurer l’équité dans le remboursement des dépôts libellés en devise étrangère ». Pour cela, elle y instaure un contrôle des capitaux sur les fonds déposés avant le 17 novembre et illégalement bloqués en banque, encore moins dissimulé que celui d’ores et déjà appliqué à travers ses précédentes circulaires.Car en plus d’instaurer un contrôle sur les retraits mensuels de ces fonds bloqués (situés respectivement à 800 et 400 dollars actuellement en fonction des circulaires n° 158 et 166), la BDL impose désormais des restrictions sur les transferts de fonds vers l’étranger, ciblant notamment ceux liés à des plaintes judiciaires déposées contre les banques libanaises à l’étranger. La circulaire émise par la BDL demande ainsi aux...
Le 1er juillet, la Banque du Liban (BDL) publiait sa circulaire n° 169 à travers laquelle elle indique vouloir « assurer l’équité dans le remboursement des dépôts libellés en devise étrangère ». Pour cela, elle y instaure un contrôle des capitaux sur les fonds déposés avant le 17 novembre et illégalement bloqués en banque, encore moins dissimulé que celui d’ores et déjà appliqué à travers ses précédentes circulaires.Car en plus d’instaurer un contrôle sur les retraits mensuels de ces fonds bloqués (situés respectivement à 800 et 400 dollars actuellement en fonction des circulaires n° 158 et 166), la BDL impose désormais des restrictions sur les transferts de fonds vers l’étranger, ciblant notamment ceux liés à des plaintes judiciaires déposées contre les banques libanaises à l’étranger. La...
Comment est posssible qu'un "trou" de 300 millions de dollars n'ait pas été remarqué plus tôt? On parle bien de 300 millions! Nos banques sont elles si poreuses?
11 h 26, le 08 juillet 2025