Photo d'illustration représentant une personne devant le drapeau iranien. Behrouz Mehri/AFP
Alors que la guerre Israël-Iran battait son plein, celle de l’ombre, en cours depuis des décennies entre les deux pays ennemis, s’est également amplifiée. De nombreuses cyberattaques ont été rapportées par les belligérants, Téhéran en venant même à couper internet dans le pays face aux risques de perturbations. Car le groupe de hackers pro-israélien Predatory Sparrow (ou Gonjeshke Darande), soupçonné d’être soutenu par l’État hébreu, a notamment ciblé la Bank Sepah avant de s’en prendre à la plateforme de cryptomonnaie Nobitex le 18 juin, rapporte le Wall Street Journal (WSJ). Si la Bank Sepah est sanctionnée par les États-Unis pour faciliter les achats du ministère iranien de la Défense, Nobitex, créé en 2017, gère des portefeuilles pour plus de 11 millions d’utilisateurs, selon le WSJ, et ne fait l’objet d’aucune sanction.Liens...
Alors que la guerre Israël-Iran battait son plein, celle de l’ombre, en cours depuis des décennies entre les deux pays ennemis, s’est également amplifiée. De nombreuses cyberattaques ont été rapportées par les belligérants, Téhéran en venant même à couper internet dans le pays face aux risques de perturbations. Car le groupe de hackers pro-israélien Predatory Sparrow (ou Gonjeshke Darande), soupçonné d’être soutenu par l’État hébreu, a notamment ciblé la Bank Sepah avant de s’en prendre à la plateforme de cryptomonnaie Nobitex le 18 juin, rapporte le Wall Street Journal (WSJ). Si la Bank Sepah est sanctionnée par les États-Unis pour faciliter les achats du ministère iranien de la Défense, Nobitex, créé en 2017, gère des portefeuilles pour plus de 11 millions d’utilisateurs, selon le WSJ, et ne fait...