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Économie - Transport

Les voyageurs se ruent déjà vers Beyrouth, malgré une trêve encore fragile entre l’Iran et Israël

« Environ 85 % des voyageurs qui étaient en attente ont déjà confirmé leur vol », assure une des agences de voyages interrogées. 

Les voyageurs se ruent déjà vers Beyrouth, malgré une trêve encore fragile entre l’Iran et Israël

L’un des halls de l’Aéroport international de Beyrouth. Photo d’illustration P.H.B/L’Orient-Le Jour

Une importante partie des voyageurs qui planifiaient de se rendre au Liban cet été n’ont pas attendu d’être sûrs si la trêve entre Israël et l’Iran allait tenir avant de confirmer leurs billets ou de chercher de nouveaux vols pour se rendre à Beyrouth. C’est ce qu’indiquent plusieurs témoignages d’agences de voyage travaillant au Liban et que L’Orient-Le Jour a contactées.Ce cessez-le-feu annoncé de manière inattendue par le président américain Donald Trump a mis au moins en pause un conflit de 12 jours qui a considérablement perturbé le trafic aérien, plusieurs pays ayant été contraints de fermer de manière ponctuelle (Liban, Jordanie, Qatar) ou prolongée (Israël, Iran, Irak) leurs espaces aériens respectifs. « Mais dès la matinée de mardi, la donne avait considérablement changé. La demande de billets a augmenté d’un coup juste après...
Une importante partie des voyageurs qui planifiaient de se rendre au Liban cet été n’ont pas attendu d’être sûrs si la trêve entre Israël et l’Iran allait tenir avant de confirmer leurs billets ou de chercher de nouveaux vols pour se rendre à Beyrouth. C’est ce qu’indiquent plusieurs témoignages d’agences de voyage travaillant au Liban et que L’Orient-Le Jour a contactées.Ce cessez-le-feu annoncé de manière inattendue par le président américain Donald Trump a mis au moins en pause un conflit de 12 jours qui a considérablement perturbé le trafic aérien, plusieurs pays ayant été contraints de fermer de manière ponctuelle (Liban, Jordanie, Qatar) ou prolongée (Israël, Iran, Irak) leurs espaces aériens respectifs. « Mais dès la matinée de mardi, la donne avait considérablement changé. La demande de...
commentaires (4)

Au prix des billets l'été où la MEA et Air France pratiquent des tarifs honteux je préfère ne pas me précipiter l'été. C'est le coeur et notre famille qui nous ramènent au Liban mais certainement pas ses services et les prix exorbitants qui nous font penser que nous sommes à Saint Tropez ... nous nous remplissons d'illusions du bonheur et c'est parfois mieux que rien.

Zeidan

19 h 04, le 25 juin 2025

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Commentaires (4)

  • Au prix des billets l'été où la MEA et Air France pratiquent des tarifs honteux je préfère ne pas me précipiter l'été. C'est le coeur et notre famille qui nous ramènent au Liban mais certainement pas ses services et les prix exorbitants qui nous font penser que nous sommes à Saint Tropez ... nous nous remplissons d'illusions du bonheur et c'est parfois mieux que rien.

    Zeidan

    19 h 04, le 25 juin 2025

  • Suite de mon commentaire : d’ailleurs, depuis qqs années, la majeure partie des libanais (lorsque c’est possible) , emportent avec eux leur laptop pour bosser sur place au Liban, en télétravail, au cas où l’aéroport serait fermé. Pour dire que l’esprit aventurier ( involontaire) , nomade ( spécifique aux libanais) et adaptable à toute situation…. Cet esprit est bien ancré en nous ( mais la plupart ne réalise pas ce trait de caractère , de qualité que les libanais possèdent)

    LE FRANCOPHONE

    10 h 50, le 25 juin 2025

  • aucun libanais (dont moi) n’ hésiterait à aller au Liban à cause de guerre ou bombardement dans des zones précis. La seule préoccupation que les libanais ont : assurer une ouverture du pays pour y aller et pour en ressortir cad que l’aéroport soit sécurisé et opérationnel. Assurer l’aller au Liban pour se ressourcer. Et assurer le retour au pays d’adoption parce que les libanais ont des engagements ( boulot, écoles etc…).Sinon ce ne sont pas quelques guerres/ obus qui vont nous empêcher de revoir familles et amis. Trop peu pour des libanais qui donneraient des leçons courage au monde entier

    LE FRANCOPHONE

    10 h 43, le 25 juin 2025

  • Rien de nouveau, les Libanais même au plus fort de la guerre, n'ont jamais arrêter de venir passer leurs vacances au pays. Dans certains cas ils amenaient même des amis et malgré le danger, passaient de merveilleux moments dont ils se rappellent encore. C'est ce qui fait le charme du pays. Il a juste besoin d'un petit nettoyage et de délavé quelques esprits pourris et il retrouvera toute sa splendeur. Ce n'est pas pour demain mais deux trois ans et il sera sur les rails.

    Pierre Christo Hadjigeorgiou

    08 h 33, le 25 juin 2025

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