Une femme vérifie les dégâts dans la ville de Tamra, en Israël, le 17 juin 2025. Ahmad Gharabli/AFP
« Ici, il n’y a pas d'abris publics. » Depuis quelques jours, Souad*, 48 ans, vit au rythme des frappes iraniennes et des sirènes d’alerte israéliennes. Son quotidien est à l'arrêt. Dans son village de Deir el-Assad, en Galilée, dans le nord d'Israël, les abris antiaériens font défaut. Par mesure de sécurité, elle et ses proches se cloîtrent à la maison. « Nous avons fait des provisions au début de la guerre pour éviter les déplacements », raconte cette mère de trois enfants. Mais l’habitat étant ancien, il ne dispose pas de chambre fortifiée. Quand les missiles iraniens se font entendre, la famille se rue au centre de l’appartement. « C’est le lieu le plus sûr », confie Souad. La quadragénaire se remémore avec crainte les guerres de 2024 et de 2006 entre Israël et le Hezbollah. « À l'époque, un missile en provenance du Liban a touché...
« Ici, il n’y a pas d'abris publics. » Depuis quelques jours, Souad*, 48 ans, vit au rythme des frappes iraniennes et des sirènes d’alerte israéliennes. Son quotidien est à l'arrêt. Dans son village de Deir el-Assad, en Galilée, dans le nord d'Israël, les abris antiaériens font défaut. Par mesure de sécurité, elle et ses proches se cloîtrent à la maison. « Nous avons fait des provisions au début de la guerre pour éviter les déplacements », raconte cette mère de trois enfants. Mais l’habitat étant ancien, il ne dispose pas de chambre fortifiée. Quand les missiles iraniens se font entendre, la famille se rue au centre de l’appartement. « C’est le lieu le plus sûr », confie Souad. La quadragénaire se remémore avec crainte les guerres de 2024 et de 2006 entre Israël et le Hezbollah. « À l'époque, un...
Faut arrêter de dire n’importe quoi, d’une part les abris sont gérés par les municipalités et d’autre part, les municipalités arabes ( et non palestiniennes )ne sont pas censées être des cibles, les crédits alloués ont donc été employés autrement par les mairies.
14 h 31, le 24 juin 2025