Juliette Armanet arrive à l'hôtel Majestic pour le premier panel « Women in Motion » de 2025 à Cannes. Photo Kering/DR
Son entrée passe presque inaperçue. Les lunettes de soleil sur la tête, tenant en main un sweat noir jurant avec son haut rouge éclatant, Juliette Armanet se faufile dans la suite du dernier étage de l’hôtel Majestic sans bruit ni tapage. C’est peut-être là le secret de son succès. Chanteuse populaire sur le tard et longtemps cantonnée aux premières parties et aux galères d’artistes parisiens semi-résignés, son attitude évoque une girl next-door un brin bobo une fois les néons de la scène éteints.Loin des boules disco et des bottines hautes qui lui ont permis de louer des stades blindés et d’être quatre fois nommée aux Victoires de la musique, l’interprète célèbre pour un timbre de voix voilée et empreinte de mélancolie revient, quatre ans après la sortie de dernier album aux sonorités funk pour frenchies - Brûler le feu, écoulé à...
Son entrée passe presque inaperçue. Les lunettes de soleil sur la tête, tenant en main un sweat noir jurant avec son haut rouge éclatant, Juliette Armanet se faufile dans la suite du dernier étage de l’hôtel Majestic sans bruit ni tapage. C’est peut-être là le secret de son succès. Chanteuse populaire sur le tard et longtemps cantonnée aux premières parties et aux galères d’artistes parisiens semi-résignés, son attitude évoque une girl next-door un brin bobo une fois les néons de la scène éteints.Loin des boules disco et des bottines hautes qui lui ont permis de louer des stades blindés et d’être quatre fois nommée aux Victoires de la musique, l’interprète célèbre pour un timbre de voix voilée et empreinte de mélancolie revient, quatre ans après la sortie de dernier album aux sonorités funk pour...
