
Un homme passe devant une affiche du président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas dans le camp de réfugiés palestiniens de Chatila à Beyrouth, le 7 février 2024. João Sousa/L’Orient-Le Jour
Le refus de nombreuses factions palestiniennes, y compris celles relevant de l’OLP, a constitué le principal obstacle à l’opération.
OLJ / Par Jeanine JALKH, le 20 juin 2025 à 00h00
Un homme passe devant une affiche du président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas dans le camp de réfugiés palestiniens de Chatila à Beyrouth, le 7 février 2024. João Sousa/L’Orient-Le Jour
pas grave, ca nous avait amuse un temps !
Depuis l’accord du Caire : - époque ou Un était portier à la faculté de médecine (est devenu chef ) l’Autre servait le café au ministère de l’intérieur ( est devenu député ) nous avons eu , élus : PRESIDENTS ( NEUF ), PREMIER MINISTRES ( NEUF ) PRESIDENTS DE PARLEMENT ( UN -inévitable - ) (détails disponible ) . QUESTION : Pourquoi le démantèlement des armes palestiniennes au Liban a échoué ? REPONSE : (tous ensemble) ILS NE NOUS ONT PAS LAISSE ! …. À l’horizon RIEN DE NEUF.
Tapis rouge et tous les honneurs pour le chef du OLP. On devrait accrocher beaucoup plus des posters géants de Joseph Aoun, pour tout ce qu’il a réalise, ce n’est pas suffisant ce qu’on voit sur les routes, rien que pour nourrir nos regards. On a besoin de Geagea et Achraf RIFI pour crever l’abcès. Le temps presse c’est invivable cette situation. Ça passe ou ça casse.
Aucun pays souverain au monde n’accepterait une milice échappant au contrôle du gouvernement central. Tant qu’il y aura des organisations armées qui ne se rangent pas sous la bannière de l’état, et ça veut dire bien sûr palestiniens (Hamas ou OLP), Hezbollah / Amal, mais aussi CPL, PSNS, Marada, Kataëb, FL etc.) on ne peut pas parler d’état souverain, ni d’indépendance, vu que plusieurs de ces partis dépendent de pays étrangers. Le jour ou ce sera fait, on pourra marquer cette date comme la vraie journée de l’indépendance, au lieu du 22 novembre…
Encore une preuve de l'immobilisme du Liban Officiel. Bienvenus dans un des pays avec la pire gouvernance.
Le Liban a le droit de vivre en paix sans milices étrangères armées sur son sol. Pour ce fait aucune négociation ne devrait être possible, seule une décision ferme de la part des autorités comme le roi Hussein l’avait fait peut aboutir à une solution définitive. Soit ces réfugiés acceptent les lois du pays hôte et les accords signés, soit ils partent vers d’autres destinations avec leurs armes et bagages. Notre pays ne doit plus servir aux mercenaires voyous qui viennent exécuter les ordres d’autres pays en prétextant vouloir libérer la Palestine aux dépens de la souveraineté du Liban.
Mais ou est l'autorité de notre gouvernement? Est-il devenu a ce point fantoche? Tout va a la derive, pas de réformes bancaires, pas de désarmement, rien n’avance!
Donc on négocie notre souveraineté nationale au lieu de l’imposer ? Tant mieux tout le monde a maintenant la preuve par A + B que les partisans d’une « troisième voie entre 8 et 14 mars » représentés par excellence par messieurs Aoun et Salam ne valent pas mieux que les aounistes et les haririens dans leur soumission aux armes illégales. Comprenons enfin qu’IL N’Y A PAS de troisième voie possible entre le Liban et le non-Liban. Dès lors nous serons prêts pour faire notre RÉVOLUTION NATIONALE qui est le seul moyen d’éviter qu’un de nos voisins (du sud ou du nord) fasse le boulot à notre place.
pas grave, ca nous avait amuse un temps !
11 h 20, le 21 juin 2025