
Le chef d’état-major des forces armées iraniennes, le major-général Mohammad Bagheri, recevant le ministre saoudien de la Défense, le prince Khaled ben Salmane, à Téhéran, en avril 2025. Photo AFP
Alors que les tensions régionales atteignent un point critique, les pétromonarchies du Golfe condamnent l’attaque israélienne, craignant des répercussions directes sur leur sécurité.
L'OLJ / Par Dany MOUDALLAL, le 14 juin 2025 à 00h00
Le chef d’état-major des forces armées iraniennes, le major-général Mohammad Bagheri, recevant le ministre saoudien de la Défense, le prince Khaled ben Salmane, à Téhéran, en avril 2025. Photo AFP
Malgré ses fanfaronnades d’usage, l’Iran sait que ce n’est pas en multipliant ses ennemis qu’il pourra s’en sortir. Un seul lui suffit amplement. Israël est en train de détruire systématiquement tout ce qu’il a « construit » en quarante ans de dictature criminelle. Depuis leurs défaite face à Saddam hussein, les mullahs barbus savent être pragmatiques et conciliants pour sauver les plumes qui leurs restent. Ils vont finalement plier les genoux et aller calmement discuter avec le grand satan.
Les mollahs se croyaient plus futés que les autres et voulaient étendre leur pouvoir dans la région en acceptant des accords de paix avec leurs voisins pour mieux les gober une fois leur proxy installés dans les pays verrouillés et étanches à toute infiltration nuisible. Ils se sont rapprochés des saoudiens et des pays du Qatar pour les endormir en louchant sur leurs pays pour les déstabiliser comme ils ont fait avec le Liban, la Syrie, l’Irak, le Yémen et les autres. Leurs faux amis ont flairé leur subterfuge et ont utilisé les mêmes stratagèmes en les berçant d’espoirs vains. L’arroseur arr
Malgré ses fanfaronnades d’usage, l’Iran sait que ce n’est pas en multipliant ses ennemis qu’il pourra s’en sortir. Un seul lui suffit amplement. Israël est en train de détruire systématiquement tout ce qu’il a « construit » en quarante ans de dictature criminelle. Depuis leurs défaite face à Saddam hussein, les mullahs barbus savent être pragmatiques et conciliants pour sauver les plumes qui leurs restent. Ils vont finalement plier les genoux et aller calmement discuter avec le grand satan.
05 h 40, le 15 juin 2025