
Vue de la Syrie depuis une maison de Qanafez dans le Hermel, le 13 février 2025. Photo d'illustration Matthieu Karam/L’OLJ
La question ne semble pas être une priorité pour Damas, mais la communauté internationale s’impatiente.
OLJ / Par Jeanine JALKH, le 22 mai 2025 à 00h00
Vue de la Syrie depuis une maison de Qanafez dans le Hermel, le 13 février 2025. Photo d'illustration Matthieu Karam/L’OLJ
Le problème au Liban c’est que ses responsables politiques de tout temps, attendent que nos droits nous soient accordés par ceux qui nous grugé. Aucun président n’a exigé sans condition que les droits du Liban soient respectés malgré tous les appuis des pays amis. Ils continuent de quémander le retrait des groupuscules armés et la rétrocession de nos terres usurpées comme si cela était une faveur de l’ennemi avec qui ils se montrent incapables d’exiger et se montrent frileux et naïfs en comptant sur son bon vouloir pour respecter les cartes jadis établis qui ne souffrent d’aucun malentendu
allons allons ! soyons quand meme objectifs. la Syrie & le LIban ont bcp trop de problemes prioritaires qu'il n'arrive pas encore a regler. Ce sujet peut TRES bien attendre encore qqs mois/meme un ou deux ans de plus . si l'on pense aux frontieres est/nord est ben une harmonisation entre les deux services militaro securitaire des 2 pays suffira bien.
Aucune levée des sanctions contre la Syrie ne devrait être promulguée avant la reconnaissance explicite par cette dernière que le Liban N'EST PAS UNE DE SES MOHAFAZAT, ET UNE FOIS POUR TOUTES! Depuis la fondation du Grand Liban en 1920, aucun régime Syrien n'a reconnu noir sur blanc l'indépendance et la souveraineté de notre pays. Il est temps que ce litige soit résolu pour de bon!
Le problème au Liban c’est que ses responsables politiques de tout temps, attendent que nos droits nous soient accordés par ceux qui nous grugé. Aucun président n’a exigé sans condition que les droits du Liban soient respectés malgré tous les appuis des pays amis. Ils continuent de quémander le retrait des groupuscules armés et la rétrocession de nos terres usurpées comme si cela était une faveur de l’ennemi avec qui ils se montrent incapables d’exiger et se montrent frileux et naïfs en comptant sur son bon vouloir pour respecter les cartes jadis établis qui ne souffrent d’aucun malentendu
11 h 43, le 22 mai 2025