
Un jeune Palestinien récupère du pain dans une boulangerie touchée par des frappes israéliennes au camp de réfugiés de Nousseirat, dans le centre de la bande de Gaza, le 8 mai 2025. Eyad Baba/AFP
L’administration Trump poursuit une offensive pour promouvoir l’initiative aux Nations unies, mais elle a suscité l’indignation des organisations internationales.
OLJ / Par Dany MOUDALLAL, le 09 mai 2025 à 00h00
Un jeune Palestinien récupère du pain dans une boulangerie touchée par des frappes israéliennes au camp de réfugiés de Nousseirat, dans le centre de la bande de Gaza, le 8 mai 2025. Eyad Baba/AFP
Si cette fureur provoquée, voulue, par un groupe d'opportunistes à des fins extrémistes religieuses pouvait se conclure par la libération des Gazaouis de leurs bourreaux locaux, qu'enfin un peuple confisqué de sa liberté de devenir dès 1948 puisse cette fois s'engager dans le futur en connaissance de cause, il se pourrait aussi que la douleur mémorielle, la barbarie, du pogrom du 7 Octobre 2023 en devienne plus supportable.
Les pires, ce sont les pays occidentaux qui se réclament du droit et de la démocratie et qui s'aplatissent devant les US et ne condamnent jamais Israël pour ne pas leur déplaire. Quelle hypocrisie, quelle abjection !
Plus le temps passe, plus Israel et les US s’empêtrent dans l’horreur et l’absurde, pataugeant dans la boue de leur genocide qui n’est qu’une impasse.
Ne mangeront que ceux qui le méritent , c'est bien ça?
Est-ce que cet état d'Israël, criminel et génocidaire s'est gardé encore un seul ami dans toute la région et dans le monde à part cet "ami" complice et biaisé? Quand les états européens se décideront-ils à appliquer les principes humanitaires dont ils se drapent? Quand finiront-ils frapper là où cela fait mal (coupure des relations commerciales) pour amener Israël à réaliser que sa politique est suicidaire à teme?
Un bon début serait d’arrêter la livraison de bombes à une armée génocidaire, non?
Si cette fureur provoquée, voulue, par un groupe d'opportunistes à des fins extrémistes religieuses pouvait se conclure par la libération des Gazaouis de leurs bourreaux locaux, qu'enfin un peuple confisqué de sa liberté de devenir dès 1948 puisse cette fois s'engager dans le futur en connaissance de cause, il se pourrait aussi que la douleur mémorielle, la barbarie, du pogrom du 7 Octobre 2023 en devienne plus supportable.
19 h 35, le 10 mai 2025