Le secrétaire général du Hezbollah, Naïm Kassem, lors d'une interview sur la chaîne NBC. Photo d'archives NBC
Le secrétaire général du Hezbollah, Naïm Kassem, a dénoncé lundi dans une allocution télévisée la dernière frappe israélienne qui a visé la banlieue sud de Beyrouth la veille, estimant qu'elle constituait une « agression injustifiée » et une « violation flagrante » du cessez-le-feu entré en vigueur le 27 novembre censé mettre fin à plus d'un an de guerre entre Israël et le parti chiite.
« Hier, une agression a visé la banlieue sud de Beyrouth. Cette attaque est dépourvue de toute justification, même fallacieuse. Il s'agit d'une agression politique visant à modifier les règles en vigueur », a-t-il déclaré.
Le secrétaire général du Hezbollah, Naïm Kassem, a dénoncé lundi dans une allocution télévisée la dernière frappe israélienne qui a visé la banlieue sud de Beyrouth la veille, estimant qu'elle constituait une « agression injustifiée » et une « violation flagrante » du cessez-le-feu entré en vigueur le 27 novembre censé mettre fin à plus d'un an de guerre entre Israël et le parti chiite.
« Hier, une agression a visé la banlieue sud de Beyrouth. Cette attaque est dépourvue de toute justification, même fallacieuse. Il s'agit d'une agression politique visant à modifier les règles en vigueur », a-t-il déclaré.
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