
Le chef du Parlement, Nabih Berry, présidant une réunion du bureau de la Chambre à Aïn el-Tiné, le 22 avril 2025. Hassan Ibrahim/Parlement libanais
Après avoir exprimé son refus d’une telle démarche, le président de la Chambre a changé d’avis après l’annonce du retrait du courant du Futur des élections, se disant favorable à des listes fermées à Beyrouth.
OLJ / Par Yara ABI AKL, le 23 avril 2025 à 00h00
Le chef du Parlement, Nabih Berry, présidant une réunion du bureau de la Chambre à Aïn el-Tiné, le 22 avril 2025. Hassan Ibrahim/Parlement libanais
Berry ne lâche rien, contrairement. Contrairement à ce qu’il prétend, il ne détient aucun pouvoir. Il a toujours essayé de passer en force appuyé sur les armes de son allié vendu. Ce temps et révolu et il ne le sait que trop bien. Alors il fait mine de céder alors qu’il ne lui reste plus aucun choix que de faire profil bas et de s’écraser. Les américains lui agite le chiffon des sanctions qui sont les seules à lui faire peur. Il sait que Trump n’est pas Macron et que lorsqu’il dit quelque chose il le fait aussitôt.
ce type est la malhonnêteté incarnée, il n’a jamais rien fait au hasard et ses calculs scabreux ne sont pas étonnant. On lui fera confiance quand il sera 10 pieds sous terre…
Alors que la compétence devrait plutôt primer sur la confession et le communautarisme… pauvre pays, on ne s’en sortira donc jamais…
Berry ne lâche rien, contrairement. Contrairement à ce qu’il prétend, il ne détient aucun pouvoir. Il a toujours essayé de passer en force appuyé sur les armes de son allié vendu. Ce temps et révolu et il ne le sait que trop bien. Alors il fait mine de céder alors qu’il ne lui reste plus aucun choix que de faire profil bas et de s’écraser. Les américains lui agite le chiffon des sanctions qui sont les seules à lui faire peur. Il sait que Trump n’est pas Macron et que lorsqu’il dit quelque chose il le fait aussitôt.
10 h 54, le 23 avril 2025