
Des poussins et des lapins colorés. Photo d'illustration montée par Jaimee-Lee Haddad/L'Orient-Le Jour
Si le directeur de la fondation Animals Lebanon constate une plus grande sensibilisation de la population à ce phénomène, du chemin reste encore à faire pour le voir disparaître.
OLJ / Par Lisa GOURSAUD, le 19 avril 2025 à 11h32
Des poussins et des lapins colorés. Photo d'illustration montée par Jaimee-Lee Haddad/L'Orient-Le Jour
Chapeau!
Ce sont les parents qu'il faut éduquer avant tout. On veut toujours mettre la responsabilité sur les autres. Il n'y a pas que les poussins colorés qui sont victimes de ces quelques écervelés mais il y a aussi ces abrutis de chasseurs qui tirent sur toute espèce protégée qui traverse le liban pour aller dans des pays où l'animal est respecté et protégé. Maintenant qu'on a un état digne de ce nom, il faudrait punir tous ces irresponsables qui ne tuent pas pour se nourrir mais par plaisir et par ignorance. Il faut absolument que les pouvoirs publics se saisissent de ces dossiers aussi vitaux.
Bravo et merci à l'association Animals Lebanon.
Chapeau!
14 h 03, le 21 avril 2025