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Politique - Témoignages

« La guerre ne mène nulle part » : des Kurdes du Liban favorables au désarmement du PKK

Abdullah Öcalan, leader du Parti des travailleurs kurdes, a ordonné jeudi la dissolution de son parti, qu’il a lui-même fondé en 1978.

« La guerre ne mène nulle part » : des Kurdes du Liban favorables au désarmement du PKK

Des Kurdes libanais lors d’une manifestation, le 26 janvier 2018, près de l’ambassade de Turquie à Rabié (Metn), contre la campagne militaire turque menée à l’époque dans l’enclave syrienne de Afrine, contrôlée par les Kurdes. Photo AFP

Après plus de quarante années de revendications et de lutte contre les autorités turques, Abdullah Öcalan, fondateur et leader historique du PKK (Parti des travailleurs kurdes), a fait la une jeudi en ordonnant à son parti de « déposer les armes et (...) se dissoudre », affirmant « assumer la responsabilité historique de cet appel ». Une décision accueillie favorablement par de nombreux Kurdes du Liban qui espèrent des répercussions positives sur l’avenir de cette communauté éparpillée dans plusieurs pays de la région. « Nous saluons la décision du leader du PKK. La guerre ne mène nulle part », lance d’emblée Zakaria Fakhro, président de l’association sportive et culturelle libano-kurde al-Arz. « Nous avons besoin de vivre ensemble et certains villages en Turquie dont nous sommes originaires sont mixtes. La solution réside dans une...
Après plus de quarante années de revendications et de lutte contre les autorités turques, Abdullah Öcalan, fondateur et leader historique du PKK (Parti des travailleurs kurdes), a fait la une jeudi en ordonnant à son parti de « déposer les armes et (...) se dissoudre », affirmant « assumer la responsabilité historique de cet appel ». Une décision accueillie favorablement par de nombreux Kurdes du Liban qui espèrent des répercussions positives sur l’avenir de cette communauté éparpillée dans plusieurs pays de la région. « Nous saluons la décision du leader du PKK. La guerre ne mène nulle part », lance d’emblée Zakaria Fakhro, président de l’association sportive et culturelle libano-kurde al-Arz. « Nous avons besoin de vivre ensemble et certains villages en Turquie dont nous sommes originaires sont...
commentaires (1)

200.000 Kurdes ? Mais où parvenons-nous à fourrer toutes ces minorités ? Ont-ils des députés comme les Alaouites et autres communautés importées ? Le Liban était, il y a pas si longtemps, très majoritairement Chrétien, et avant les invasions islamiques exclusivement chrétien. Et bientôt ?

Nicolas ZAHAR

21 h 27, le 03 mars 2025

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Commentaires (1)

  • 200.000 Kurdes ? Mais où parvenons-nous à fourrer toutes ces minorités ? Ont-ils des députés comme les Alaouites et autres communautés importées ? Le Liban était, il y a pas si longtemps, très majoritairement Chrétien, et avant les invasions islamiques exclusivement chrétien. Et bientôt ?

    Nicolas ZAHAR

    21 h 27, le 03 mars 2025

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