
Le siège de la Banque du Liban, à Beyrouth. Photo d'illustration João Sousa
En relevant de manière permanente les limites des circulaires n° 158 et 166, la banque centrale essaie à nouveau de gagner du temps, dénoncent des experts.
OLJ / Par Fouad GEMAYEL, le 25 février 2025 à 00h00
Le siège de la Banque du Liban, à Beyrouth. Photo d'illustration João Sousa
Rembourser au premier abord tous les avoirs des déposants dans leur intégralité ceux qui ont moins de cent mille $ puis en deuxième lieu dans un délais de deux ans pour ceux qui ont cinq cents milles $ puis en troisième lieu moins d’un million de $ dans un délai de trois ans, et enfin pour ceux qui ont moins de un milliard de dollars dans un délai de quatre ans, et enfin pour ceux qui qui ont plus de un milliard de $ dans un délai de cinq ans. En aucune façon, le remboursement ne doit pas dépasser cinq ans. Surtout tenir compte de l’âge des déposants et les faire passer en priorité.
La canaille de la BDL espere diminuer la rage legitime des epargnants par une mesurette sans grande portee (augmentation ridicule des plafonds des circulaires 158 et 166). Cependant que la circulaire 151, qui instaure un taux de change scelerat en depit des exigences du FMI, est maintenue pour satisfaire les crapules bancaires. A l'ombre du nouveau gouvernement ? Et l'OlJ n'a de cesse d'accorder une place dans ses articles aux portes-parole de ces memes crapules.
Rembourser au premier abord tous les avoirs des déposants dans leur intégralité ceux qui ont moins de cent mille $ puis en deuxième lieu dans un délais de deux ans pour ceux qui ont cinq cents milles $ puis en troisième lieu moins d’un million de $ dans un délai de trois ans, et enfin pour ceux qui ont moins de un milliard de dollars dans un délai de quatre ans, et enfin pour ceux qui qui ont plus de un milliard de $ dans un délai de cinq ans. En aucune façon, le remboursement ne doit pas dépasser cinq ans. Surtout tenir compte de l’âge des déposants et les faire passer en priorité.
20 h 27, le 27 mars 2025