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Économie - Éclairage

Hausse des plafonds de retraits bancaires : signe de force ou aveu de faiblesse de la BDL ?

En relevant de manière permanente les limites des circulaires n° 158 et 166, la banque centrale essaie à nouveau de gagner du temps, dénoncent des experts.

Hausse des plafonds de retraits bancaires : signe de force ou aveu de faiblesse de la BDL ?

Le siège de la Banque du Liban, à Beyrouth. Photo d'illustration João Sousa

En décidant de relever de façon permanente les plafonds des retraits que permettaient certaines de ses circulaires, la Banque du Liban tente de donner des signaux positifs quant au sort des dépôts bloqués en banques. À travers une décision publiée le 19 février, la BDL annonce dans son communiqué « augmenter les plafonds de retrait mensuel de la circulaire n° 158 à 500 dollars et celui de la circulaire n° 166 à 250 dollars à partir du 1er mars ». La BDL doit encore publier des circulaires précisant les modalités de mise en œuvre de cette décision.Valables jusqu’en juin 2025, sauf modification de leur date d’expiration, les circulaires principales n° 158 et 166 font partie des dispositifs mis en place par la BDL depuis le début de la crise bancaire en 2019 pour compenser partiellement les restrictions illégales imposées par les banques...
En décidant de relever de façon permanente les plafonds des retraits que permettaient certaines de ses circulaires, la Banque du Liban tente de donner des signaux positifs quant au sort des dépôts bloqués en banques. À travers une décision publiée le 19 février, la BDL annonce dans son communiqué « augmenter les plafonds de retrait mensuel de la circulaire n° 158 à 500 dollars et celui de la circulaire n° 166 à 250 dollars à partir du 1er mars ». La BDL doit encore publier des circulaires précisant les modalités de mise en œuvre de cette décision.Valables jusqu’en juin 2025, sauf modification de leur date d’expiration, les circulaires principales n° 158 et 166 font partie des dispositifs mis en place par la BDL depuis le début de la crise bancaire en 2019 pour compenser partiellement les restrictions illégales...
commentaires (2)

Rembourser au premier abord tous les avoirs des déposants dans leur intégralité ceux qui ont moins de cent mille $ puis en deuxième lieu dans un délais de deux ans pour ceux qui ont cinq cents milles $ puis en troisième lieu moins d’un million de $ dans un délai de trois ans, et enfin pour ceux qui ont moins de un milliard de dollars dans un délai de quatre ans, et enfin pour ceux qui qui ont plus de un milliard de $ dans un délai de cinq ans. En aucune façon, le remboursement ne doit pas dépasser cinq ans. Surtout tenir compte de l’âge des déposants et les faire passer en priorité.

Mohamed Melhem

20 h 27, le 27 mars 2025

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Commentaires (2)

  • Rembourser au premier abord tous les avoirs des déposants dans leur intégralité ceux qui ont moins de cent mille $ puis en deuxième lieu dans un délais de deux ans pour ceux qui ont cinq cents milles $ puis en troisième lieu moins d’un million de $ dans un délai de trois ans, et enfin pour ceux qui ont moins de un milliard de dollars dans un délai de quatre ans, et enfin pour ceux qui qui ont plus de un milliard de $ dans un délai de cinq ans. En aucune façon, le remboursement ne doit pas dépasser cinq ans. Surtout tenir compte de l’âge des déposants et les faire passer en priorité.

    Mohamed Melhem

    20 h 27, le 27 mars 2025

  • La canaille de la BDL espere diminuer la rage legitime des epargnants par une mesurette sans grande portee (augmentation ridicule des plafonds des circulaires 158 et 166). Cependant que la circulaire 151, qui instaure un taux de change scelerat en depit des exigences du FMI, est maintenue pour satisfaire les crapules bancaires. A l'ombre du nouveau gouvernement ? Et l'OlJ n'a de cesse d'accorder une place dans ses articles aux portes-parole de ces memes crapules.

    Michel Trad

    08 h 50, le 25 février 2025

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