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Moyen-Orient - Eclairage

Le Moyen-Orient panique face à Trump 2.0

Les sorties fracassantes du président américain sur le sort des Gazaouis ébranlent les espoirs des dirigeants régionaux d’une parenthèse enchantée sous son second mandat. 

OLJ / Par Tatiana KROTOFF, le 12 février 2025 à 20h42

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Le Moyen-Orient panique face à Trump 2.0

Le président Donald Trump a été accueilli par le roi Salman ben Abdelaziz Al Saoud à Riyad en 2017, AFP

Donald Trump ne cherche plus à épargner ses alliés arabes. Interrogé sur la participation de la Jordanie à son projet de déplacement forcé et définitif des Palestiniens de Gaza, le président américain a renvoyé la question à son homologue de passage...
Donald Trump ne cherche plus à épargner ses alliés arabes. Interrogé sur la participation de la Jordanie à son projet de déplacement forcé et définitif des Palestiniens de Gaza, le président américain a renvoyé la question à son homologue de passage...
commentaires (6)

Si les dirigeants des pays arabes avaient quelque chose là où il faut voici ce qu'ils diraient à Trump et Netanyahu : "Si Israël ne se retire pas immédiatement des territoires occupés, mon pays permettra à la Chine, à la Russie et à l'Iran d'installer des bases militaires...." La Chine et les pays Arabe pourraient alors répliquer à Trump en payant l'aide à la Jordanie et là 'Egypte à la place des Américains.Ceci après la menace de Trump de retirer l'aide américaine d' un milliard de $ si le roi de Jordanie et Sissi refusent d'accueillir les Gazaouis sur leur sol.

Chucri Abboud

10 h 05, le 14 février 2025

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Commentaires (6)

  • Si les dirigeants des pays arabes avaient quelque chose là où il faut voici ce qu'ils diraient à Trump et Netanyahu : "Si Israël ne se retire pas immédiatement des territoires occupés, mon pays permettra à la Chine, à la Russie et à l'Iran d'installer des bases militaires...." La Chine et les pays Arabe pourraient alors répliquer à Trump en payant l'aide à la Jordanie et là 'Egypte à la place des Américains.Ceci après la menace de Trump de retirer l'aide américaine d' un milliard de $ si le roi de Jordanie et Sissi refusent d'accueillir les Gazaouis sur leur sol.

    Chucri Abboud

    10 h 05, le 14 février 2025

  • Ce sont des manoeuvres politiques pour imposer une solution définitive. Trump est sérieux et prévient de ce qu'il adviendra si les Palestiniens ne se décident pas à faire la paix. Cette même logique s'applique à nos lascars du HB et autres imbéciles heureux du même style. S'il ne s'intègrent pas ils finiront entre l'Iraq et l'Iran. Ce sont des plans qui ont été discutés en 2003 qui refont surface. Il semble que la guerre n'est pas vraiment terminée encore. A suivre ...

    Pierre Christo Hadjigeorgiou

    16 h 52, le 13 février 2025

  • Seule L’Arabie Saoudite est capable de raisonner Trump. Trump est intéressé par son argent et sa puissance dans la région, et Israël tient à son projet de normalisation avec ce pays qui peut lui rapporter gros à long terme. Les acrobaties de Trump ne sont qu’une surenchère pour pousser les saoudiens à accélérer le processus afin d’arriver à un accord rapide pour permettre à Trump de fanfaronner de sa rapidité à régler les problèmes en un claquement de doigts. A eux de jouer. Il prétend confisquer Gaza aux palestiniens et offrir l’Ukraine à Poutine afin d’obtenir le prix Nobel de paix. Tu pa

    Sissi zayyat

    10 h 52, le 13 février 2025

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    Chucri Abboud

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  • L'enfer de Trump tuera les derniers otages israéliens à Gaza et les juifs remercieront les américains ...

    KERBAJE Eli

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  • Le président Américain traite les dirigeants des pays arabes avec mépris et méprise. Il n’a de respect pour personnes et souhaite racketter tout le monde pour son profit personnel, sans parler ‘du fait qu’il est clairement profondément et structurellement raciste. Son entrevue avec Abdallah de Jordanie a duré 30 minutes et le point de presse a eu lieu avant l’entretien et non après. L’entrevue a été semble-t-il, négative. L’américain et le jordanien semble ne pas s’être salué en se quittant. Cela n’augure rien de bon. Le président égyptien a eu raison d’ajourner/d’annuler sa visite à Washingto

    Sphinx

    23 h 11, le 12 février 2025

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