
Un ouvrier assis au milieu des débris du port de Beyrouth, le 27 juin 2024. Photo Mohammad Yassine
Le parquet persiste à ne pas coopérer avec le juge d’instruction.
OLJ / Par Claude ASSAF, le 12 février 2025 à 00h00
Un ouvrier assis au milieu des débris du port de Beyrouth, le 27 juin 2024. Photo Mohammad Yassine
Nous n’avons plus de ce parquet, nous préférons le carrelage. Ils a servi pendant des décennies et semble usé par tant de corruption et de trahison. Tout ce monde devrait quitter ces institutions jadis pilier et colonne vertébrale de notre pays qu’ils ont travestis en paillasson et en institution lucratif pour leurs propres intérêts. C’est le premier chantier auquel nos nouveaux gouvernants devraient s’atteler à démonter de toute pièce pour le remplacer par des personnes patriotes, libres et compétents afin que ce pays redevienne un pays de droits et non de passe-droits
Les récalcitrants se jugent eux-mêmes en refusant de comparaître. Qui aurait pû importer stocker et disposer à sa guise de pareille quantité de nitrate mortel ? Et pour quoi faire ? La réponse est évidente. Haro sur le baudet maintenant que la milice iranienne est aux abois.
De Ghassan Oueidate à Jamal Hajjar, la honte continue. Bon courage au très valeureux Tarik Bitar.
L'aboutissement positive et complète de l'enquête entamée par le juge Bitar marquera une nouvelle ère dans la vie des institutions libanaises.
Nous n’avons plus de ce parquet, nous préférons le carrelage. Ils a servi pendant des décennies et semble usé par tant de corruption et de trahison. Tout ce monde devrait quitter ces institutions jadis pilier et colonne vertébrale de notre pays qu’ils ont travestis en paillasson et en institution lucratif pour leurs propres intérêts. C’est le premier chantier auquel nos nouveaux gouvernants devraient s’atteler à démonter de toute pièce pour le remplacer par des personnes patriotes, libres et compétents afin que ce pays redevienne un pays de droits et non de passe-droits
10 h 31, le 12 février 2025