
L’ancien Premier ministre Saad Hariri lors de la 19e commémoration de l’assassinat de son père, Rafic, le 14 février 2024, dans le centre-ville de Beyrouth. Anwar Amro/AFP
Les deux Premiers ministres ont dû composer avec un contexte local et régional compliqué.
OLJ / Par Salah HIJAZI, le 14 février 2025 à 00h00
L’ancien Premier ministre Saad Hariri lors de la 19e commémoration de l’assassinat de son père, Rafic, le 14 février 2024, dans le centre-ville de Beyrouth. Anwar Amro/AFP
Pour rappel aux pourfendeurs Saad Hariri est rentré au Liban avec deux milliards hérités et ressortis avec presque rien! Pour rappel Saad Hariri a été désavoué par MBS parce qu’il a refusé de faire rentrer son pays dans une guerre sunnite chiite par procuration pour l’Iran et l’Arabie Saoudite! C’est vrai que pour plaire aux Libanais il ne faut surtout pas être pétris d’une qualité de modérateur mais plutôt être investi dans les faux barrages et les centrales électriques sans fusibles!
Pourquoi avoir censuré mes autres commentaires très chers modérateurs?
Comme par hasard c’est la collaboration honteuse et la lâcheté des deux présidents maronites avec nos ennemis qui ont fait que R. Hariri a été assassiné et son fils pousser à l’exil pour éviter de finir comme son père entre quatre planches. Les deux il faut bien le préciser, étaient d’anciens généraux dans notre armée. Espérons que ce même scénario ne se répèterait pas, et que les libanais arrivent enfin, à faire la différence entre ceux qui meurent pour sauver leur pays et les autres qui s’allient avec le diable pour anéantir ce pays pour occuper un fauteuil sans le moindre cas de conscience.
Aussi gentil et sincère qu'il en a l'air, ce personnage n'a pas la trempe d'un homme d'état. Que ce soit lui ou son père ils ont permis le développement de la corruption a un niveau jamais atteint pour des acquis politiciens propres à eux. Ils n'ont aucun moment eu le courage de dire non aux deux occupations et ont préféré la collaboration que la résistance. Ce sont dans les moments difficiles que la trempe d'un politique apparaît. Ils ne l'ont pas eu. L'un en est mort l'autre a pris la fuite devant ses responsabilités.
Intéressant ce décryptage qui dévoile le dessous des cartes. Mais faut-il craindre que le retour de Hariri relance la rivalité avec le sunnisme traditionnel et, en particulier, l’un de ses descendants… Nawaf Salam? Car l’histoire du Liban, qui se focalise sur les rivalités inter-confessionnelles, jette un voile pudique sur les rivalités « intra ».
L'Orient le Jour, oublie de mentionner deux faits pourtant évidents: 1 ) La responsabilité directe de lahoud dans l'assassinat de Hariri, et 2) , lorsque Saad Hariri a été séquestré par le prince Mohammed ben Salmane à Riyad. « Personne ne dit la raison de son arrestation, c'est qu'il avait 7 milliards de dollars de créances sur l'Etat saoudien à travers Saudi Oger,
Bonne analyse, hariri est un modéré qui a hérité l’immense popularité de son père. Il a fait des concessions que beaucoup condamnent comme serrer la main du fuyard bachar et celle de l’assassin de son père, hassan nasrallah. Logiquement il devrait être libéré maintenant de ces mafieux qui le menaçaient. On attend de lui un appui inconditionnel au duo Aoun-Salam, ce qui augmenterait les chances de la résurrection du Liban. Son retour signifie l’apaisement des Sunnites, dont certains estiment qu’ils sont mal représentés au gouvernement.
Soyons clair ...... Saad Hariri n'est pas a la hauteur de la tache .....
Pour rappel aux pourfendeurs Saad Hariri est rentré au Liban avec deux milliards hérités et ressortis avec presque rien! Pour rappel Saad Hariri a été désavoué par MBS parce qu’il a refusé de faire rentrer son pays dans une guerre sunnite chiite par procuration pour l’Iran et l’Arabie Saoudite! C’est vrai que pour plaire aux Libanais il ne faut surtout pas être pétris d’une qualité de modérateur mais plutôt être investi dans les faux barrages et les centrales électriques sans fusibles!
09 h 57, le 15 février 2025