Liban
Une source a confirmé à la radio militaire israélienne avoir frappé le Liban Sud et "en profondeur" dans le territoire libanais suite aux "violations" par le Hezbollah des termes du cessez-le-feu et à des "tentatives de contrebande d'armes" à travers la frontière.
Dans la Békaa, au Liban
"C'était terrifiant. Malheureusement, je ne pense pas que quiconque puisse encore arrêter Israël", affirme à L'OLJ Saniya Moussaoui, qui vit à Nabi Chit. "Et il semble que le Hezbollah ne va pas répliquer", ajoute-t-elle.
Elle raconte encore que ses deux enfants en bas âge se sont réveilles paniqués après la frappe. Mais elle les a calmés en leur assurant que "les frappes étaient très éloignées... même si elles ne se sont abattues qu'à deux rues".
Liban
Au moins une frappe israélienne a également visé une vallée de la région de Nabatiyé, au Liban-Sud, selon des médias locaux.
Liban
L'aviation israélienne a mené quatre frappes dans la région de Baalbeck-Hermel, au niveau de la frontière avec la Syrie, selon les informations de notre correspondante Sarah Abdallah. Ces raids ont notamment visé la région de Nabi Chit, Janta et les hauteurs de l'Anti-Liban.
La zone frontalière entre le Liban et la Syrie, au niveau de la Békaa, est régulièrement bombardée par l'armée israélienne, même depuis l'entrée en vigueur du cessez-le-feu le 27 novembre. L'armée dit y viser des infrastructures servant aux opérations de contrebande et de trafic d'armes du Hezbollah.
Nous refermons cette couverture en direct et la reprendrons demain matin. Merci de nous avoir suivis.
Gaza
Le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies a appelé la communauté internationale et "tous les donateurs" à l'aide pour nourrir des millions de Gazaouis et reconstruire les zones dévastées par la guerre entre le Hamas et Israël.
"Nous appelons, en un moment crucial, la communauté internationale et tous les donateurs à continuer de soutenir le PAM pour sauver des vies", a déclaré son directeur exécutif adjoint Carl Skau après une visite sur place.
Gaza
La porte-parole de la Maison-Blanche, Karoline Leavitt, a réaffirmé que le plan du président américain Donald Trump pour Gaza n'impliquerait pas de "troupes sur le terrain" et que "les contribuables américains ne le financeraient pas".
Mme Leavitt a déclaré à Fox News que M. Trump "essayait de trouver un accord pour que Gaza devienne un endroit habitable pour les êtres humains qui veulent vivre en paix et bénéficier d'un véritable développement économique", ajoutant que "les partenaires de la région ont commencé à en discuter" avec l'administration.
Liban-Sud
L'armée israélienne a fait exploser des bâtiments résidentiels à l'ouest de Meis el-Jabal (Marjeyoun) dans la zone de Mfaïlha, selon notre correspondant.
États-Unis
Les dirigeants des sept plus grands groupes du judaïsme réformé aux États-Unis ont rejeté les remarques du président Donald Trump concernant l'expulsion des Palestiniens de Gaza et la prise de contrôle par les États-Unis, qualifiant le plan d'« inacceptable », selon une déclaration relayée par Haaretz.
"Nous condamnons fermement la proposition décrite par le président Donald Trump d’une prise de contrôle de la bande de Gaza par les États-Unis sous la forme d’un plan de développement immobilier", peut-on lire dans une déclaration commune. La proposition de M. Trump est "irréaliste et dangereuse", selon le communiqué.
"Le transfert de deux millions de Palestiniens de Gaza vers des lieux indéterminés et l’imposition d’un contrôle américain sur Gaza entraîneraient une instabilité régionale supplémentaire. Cela ferait peser de graves risques sur la sécurité d’Israël. Cela porte atteinte à l’autodétermination palestinienne. Cela met en péril le cessez-le-feu actuel et l’accord de libération des otages, ainsi que ses phases futures. Et cela entrave le principe de longue date d’une solution négociée à deux États qui, malgré tout, reste la meilleure possibilité de paix, de stabilité et d’un avenir sûr et viable pour tous les habitants de la région", ont poursuivi les auteurs du communiqué.
Israël
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, s’est exprimé jeudi sur Channel 14, approuvant le plan de Donald Trump visant à prendre le contrôle de la population palestinienne de Gaza et à la déplacer, a rapporté le Haaretz.
"Ils nous ont constamment parlé du “jour d’après”, et voilà que M. Trump arrive avec une idée totalement nouvelle et différente", a déclaré M. Netanyahu, s’adressant indirectement à ses opposants sur la scène israélienne et internationale, qui lui reprochent de ne pas avoir de plan pour l’enclave après la guerre.
Il a ajouté qu’il connaissait les grandes lignes du projet avant sa présentation, affirmant que "le reste du monde a été surpris".
Gaza
⚡ L'Égypte a lancé une offensive diplomatique en coulisses contre la proposition du président américain Donald Trump de vider Gaza de sa population, avertissant que cela mettrait en péril son accord de paix avec Israël, ont déclaré des responsables, selon Reuters.
Le ministère égyptien des affaires étrangères a déclaré jeudi qu'il rejetait et ne participerait pas à toute proposition visant à déplacer les Palestiniens de Gaza.
Liban-Sud
Le chef de la municipalité de Blida (caza de Marjeyoun), Hajj Hassan Hijazi, a appelé les habitants à se rassembler dimanche prochain à 10h à l'entrée de la localité, en direction d'Aïtaroun, à côté de la station Wahid Hamad, en portant le drapeau libanais et la bannière de la résistance, afin de soutenir l'armée libanaise lors de son déploiement à venir.
Liban-Sud
Le porte-parole arabophone de l'armée israélienne, Avichay Adraee, a une nouvelle fois appelé les habitants du Liban-Sud à ne pas retourner dans les zones occupées encore par l'armée israélienne, qui a jusqu'au 18 février pour finaliser son retrait. "Toute personne se déplaçant vers le sud le fait à ses propres risques", a-t-il écrit sur X.
Gaza
Le porte-parole du Hamas, Hazem Qassem, a déclaré jeudi que son mouvement appelait à la tenue urgente d'un "sommet arabe" en réaction à la proposition du président Donald Trump d'une prise de contrôle américaine du territoire palestinien et d'un déplacement de sa population, rapporte l'AFP.
"Nous appelons à un sommet arabe en urgence pour faire face au projet de déplacement" des Palestiniens hors de Gaza, a déclaré M. Qassem dans un communiqué, exhortant "les pays arabes à résister aux pressions de Trump et à rester fermes", tout en appelant "les organisations internationales à prendre des mesures fortes contre le plan de Trump".
Les Palestiniens ne quitteront pas Gaza, a-t-il encore déclaré, selon Reuters.
Liban-Syrie
Après la fin des affrontements entre des clans syriens à Hawik, à la frontière entre le Liban et la Syrie, et des éléments des forces de sécurité syriennes, notre correspondante fait état de matériel militaire tombé aux mains des tribus et de l'enlèvement de deux membres des forces de sécurité.
Iran
Le président iranien, Massoud Pezeshkian, a déclaré jeudi que son pays ne cherchait pas à se doter de l'arme nucléaire, après que le président américain Donald Trump a affirmé que l'Iran ne devait pas en disposer.
"Nous ne cherchons pas à nous doter d'armes nucléaires", a déclaré M. Pezeshkian lors d'une réunion avec des diplomates étrangers à Téhéran, ajoutant qu'il était "facile" de vérifier cette affirmation, rapporte l'AFP.
Gaza
Le président américain Donald Trump a déclaré qu'Israël remettrait la bande de Gaza aux États-Unis après la fin des combats et qu'aucun soldat américain ne serait nécessaire sur place, selon Reuters.
"La bande de Gaza serait remise aux États-Unis par Israël à la fin des combats. Les Palestiniens (...) auraient déjà été réinstallés dans des communautés bien plus sûres et plus belles, avec des maisons neuves et modernes, dans la région", a déclaré M. Trump dans un message publié sur Truth Social.
Liban/Syrie
Les affrontements entre membres de clans rivaux à Hawik, en Syrie, près de la frontière avec le Liban, ont finalement pris fin après deux heures avec l'entrée des forces syriennes dans le village, selon notre correspondante Sarah Abdallah. Les habitants libanais de cette localité ont quitté les lieux.
Peu avant la fin des tensions, un tir d'obus en provenance de la Syrie s'est écrasé sur le village de Qasr, du côté libanais de la frontière, faisant un blessé.
Iran
Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a posté sur X : "Toute la Palestine, du fleuve à la mer, appartient au peuple palestinien."
Il y a deux jours, le président américain Donald Trump, qui a récemment appelé au déplacement des Palestiniens de la bande de Gaza vers la Jordanie et l'Égypte, a déclaré que "les États-Unis prendront le contrôle de la bande de Gaza."
Gaza
Le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour la bande de Gaza a annoncé un nouveau bilan d'au moins 47.583 morts dans le territoire palestinien du fait de la guerre avec Israël, rapporte l'AFP.
Malgré l'entrée en vigueur d'une trêve fragile le 19 janvier, le bilan des morts publié par le ministère de la Santé de Gaza continue de monter chaque jour, au fur et à mesure que des corps découverts sous les décombres sont identifiés ou que des gens meurent des suites de leurs blessures.
Au cours des dernières 24 heures, 31 morts supplémentaires ont ainsi été recensés, indique le ministère, qui chiffre à 111.633 le nombre des blessés de la guerre.
Une étude publiée début janvier dans la revue médicale britannique The Lancet estime que le nombre des morts dans la bande de Gaza, au cours des neuf premiers mois des hostilités, est supérieur d'environ 40% à celui enregistré par le ministère de la Santé.
Israël
L'ancien Premier ministre israélien Ehud Barak a qualifié de « fantaisistes » les projets de Trump de réinstaller la population de Gaza ailleurs, lors d'une interview accordée à la radio israélienne jeudi, rapporte Haaretz. Il a tenu des propos quasiment identiques mercredi dans un entretien à Sky News.
« Cela ne semble pas être un plan que quelqu’un a sérieusement envisagé. Cela ressemble plus à un ballon d’essai, ou peut-être à une tentative de signaler son soutien à Israël », a-t-il déclaré à la radio israélienne. « Beaucoup d’Israéliens sont très enthousiastes, mais je pense que la faisabilité de ce plan est profondément douteuse. »
M. Barak a suggéré que les commentaires de M. Trump pourraient être une tentative de pression sur les dirigeants arabes, en les mettant en garde : « Voilà ce qui vous attend si vous ne vous réveillez pas, si vous ne proposez pas une voie pratique pour Gaza et si vous n’aidez pas à chasser le Hamas du pouvoir. » Sur Sky News, il a évoqué un moyen de pression utilisé « délibérément ou inconsciemment ».
Il est tout à fait concevable que les États arabes modérés de la région proposent une meilleure approche en réponse au plan de M. Trump, a enfin conclu M. Barak sur la radio israélienne.
Liban/Syrie
Des renforts de l'armée libanaise ont été déployés à la frontière avec la Syrie, au niveau de la Békaa, afin d'empêcher l'entrée d'éléments armés en provenance de Syrie, selon les informations de notre correspondante Sarah Abdallah. Une mobilisation qui a eu lieu alors que des affrontements armés en Syrie se font entendre depuis la matinée jusque dans les villages frontaliers.
Gaza
L'aide humanitaire entrant dans Gaza, depuis le cessez-le-feu du 19 janvier, a connu "une augmentation massive", a indiqué un haut-responsable de l'ONU, qui doit se rendre dans le territoire palestinien, rapporté l'AFP.
"Nous avons fait entrer plus de 10.000 camions au cours des deux semaines qui ont suivi le cessez-le-feu, ce qui représente une augmentation massive", a écrit Tom Fletcher, le patron de l'agence de coordination de l'aide humanitaire des Nations unies (Ocha) sur le réseau social X.
Iran
Lors de la cérémonie d'inauguration du premier navire porte-drones iranien, le chef des gardiens de la révolution, le général Hossein Salami, a souligné que l'Iran ne cherchait à intimider personne, « mais nous ne nous plierons pas devant la menace d'une quelconque puissance ». L'Iran « ne s'engagera dans aucune guerre avec les gouvernements que nous reconnaissons », a-t-il ajouté.
Iran
⚡Les gardiens de la révolution ont dévoilé dans les eaux du Golfe le premier navire porte-drones du pays, a annoncé le commandant naval de l'armée idéologique de l'Iran à la télévision d'Etat, rapporte l'AFP.
Le « Martyr Bahman Bagheri », un ancien navire commercial, a été transformé en porte-drones au cours des deux dernières années et demie, a déclaré le contre-amiral Alireza Tangsiri lors de la cérémonie de présentation.
Décrit par ce dernier comme le « plus grand projet militaire naval » dans l'histoire de la République islamique, fondée en 1979,, le porte-drones est capable de lancer des missiles longue portée et transporter aussi des hélicoptères. Il est également conçu pour la guerre électronique et peut opérer en mer pendant un an sans mouiller l'ancre, selon le contre-amiral. D'après l'agence de presse officielle iranienne Irna, il peut transporter jusqu'à 60 drones.
Gaza
Dans la bande de Gaza, beaucoup d'habitants rentrés chez eux à la faveur du cessez-le-feu excluent tout départ, suite à la polémique lancée par les propos choc de Donald Trump.
"Nous sommes revenus malgré les destructions massives (...) parce que nous refusons catégoriquement d'être déplacés", a affirmé à l'AFP Ahmed al-Minaoui, de retour à Gaza-ville, dans le nord.
De l'autre côté de la frontière, pour Kfir Dekel, un Israélien de 48 ans qui vit dans la zone frontalière avec Gaza, "le plan de Trump a du sens. Gaza est complètement détruite et il est impossible de réparer tant qu'il y a des gens". "Laissons les partir et construire leur vie ailleurs".
Gaza
Le ministre espagnol des Affaires étrangères, Jose Manuel Albares, a rejeté la suggestion du ministre israélien de la Défense, Israël Katz, selon laquelle l'Espagne devrait accueillir les Palestiniens déplacés de Gaza.
"La terre des Gazaouis est Gaza, et Gaza doit faire partie du futur État palestinien", a déclaré M. Albares lors d'une interview accordée à la station de radio espagnole RNE.
Gaza
L'armée israélienne a indiqué que deux de ses soldats de la brigade d'infanterie Golani ont été tués, et huit autres ont été blessés, lors de l'effondrement d'une grue pendant des travaux de construction dans le nord de la bande de Gaza "en raison du mauvais temps", selon le Haaretz.
Gaza
⚡Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a ordonné à l'armée de préparer un plan en vue d'un départ des Gazaouis qui le souhaitent, après les déclarations du président américain Donald Trump sur un potentiel déplacement des Palestiniens de ce territoire, rapporte l'AFP.
"J'ai ordonné à l'armée israélienne de préparer un plan qui permettra à tout habitant de Gaza qui le souhaite de partir vers n'importe quel endroit du monde qui accepte de l'accueillir", a déclaré M. Katz dans un communiqué, précisant que le plan comprendrait "des options de sortie aux points de passage terrestres ainsi que des dispositions spéciales pour les sorties par voie maritime et aérienne".
Propos polémiques de Trump sur Gaza
De son côté, le secrétaire d'État américain Marco Rubio a souligné que Donald Trump souhaitait seulement que les Palestiniens quittent temporairement la bande de Gaza pendant sa reconstruction. Il veut « reconstruire les bâtiments » afin que « les gens puissent y retourner », a dit Marco Rubio, expliquant qu'il s'agit là « d'un geste très généreux - l'offre de reconstruire et d'être en charge de la reconstruction ».
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Propos polémiques de Trump sur Gaza
Pas de dollars des contribuables américains pour reconstruire Gaza, un déplacement de population temporaire et non pas permanent : des responsables américains ont semblé modérer les propos spectaculaires de Donald Trump sur la prise de contrôle par les États-Unis du territoire palestinien, rapporte l'AFP.
Après l'annonce fracassante hier par le président américain que les États-Unis allaient « prendre le contrôle » du territoire ravagé par la guerre et dont les habitants iraient vivre ailleurs, son administration a semblé tempérer ses propos.
Le président Trump a dit que « les États-Unis ne financeraient pas la reconstruction de Gaza », a déclaré devant la presse la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt. « Son administration va travailler avec (ses) partenaires dans la région pour reconstruire » le territoire palestinien réduit à l'état de ruines après 16 mois de guerre et en proie à une terrible crise humanitaire, a-t-elle ajouté. « Les États-Unis doivent s'impliquer dans cet effort de reconstruction », a-t-elle dit. Mais « cela ne veut pas dire qu'il y aura des troupes (américaines) au sol à Gaza, ni que les contribuables américains financeront cet effort », a expliqué Karoline Leavitt.
Syrie
Le nouveau dirigeant syrien par intérim, Ahmad el-Chareh, a reçu un appel téléphonique du président français Emmanuel Macron qui l'a félicité et invité en France, a indiqué mercredi la présidence syrienne, rapporte l'AFP.
M. Chareh a remercié M. Macron pour son appel et « pour le soutien de la France envers le peuple syrien au cours des quatorze dernières années », a ajouté la présidence qui précise que le dirigeant syrien a évoqué « les défis actuels, y compris les sanctions économiques imposées » à la Syrie.
➡️ Retrouvez ici les détails de l'entretien entre le président Macron et le dirigeant el-Chareh.
Gaza
Le projet de Donald Trump d'une prise de contrôle américaine de Gaza et d'un déplacement de sa population est une « forme de colonisation du XXIe siècle », a dénoncé dans la nuit la secrétaire générale de l'ONG Amnesty International auprès de l'AFP.
« C'est un cauchemar digne du XIXe siècle, quand les pays les plus puissants s'emparaient des moins puissants, une forme de colonisation du XXIe siècle », a réagi Agnès Callamard, qui a eu « le souffle coupé » en entendant les propos de Donald Trump. Ce projet, qu'Amnesty International qualifie de « révoltant » et « illégal », a été condamné par de nombreux pays et par l'ONU, au moment où doivent reprendre les délicates négociations sur la poursuite de la trêve entre Israël et le Hamas.
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Gaza
L'Iran a dit juger « scandaleux » le « déplacement forcé » des habitants de la bande de Gaza évoqué par le président américain Donald Trump qui a dit vouloir prendre le contrôle du territoire palestinien, rapporte l’AFP.
« Le plan consistant à vider Gaza et soumettre les Palestiniens à un déplacement forcé dans des pays voisins s'inscrit dans la continuation du régime sioniste d'annihiler complètement la nation palestinienne », a déclaré le porte-parole de la diplomatie iranienne, Esmaeil Baqaei.
M. Baqaei a décrit le plan américain comme « une attaque sans précédent contre les principes fondamentaux et les fondations du droit international et de la Charte des Nations unies ». Il a en outre appelé la communauté internationale à reconnaître « le droit du peuple palestinien à l'autodétermination et à se libérer de (...) l'occupation et de l'apartheid ».
Bonjour et bienvenue dans notre couverture en direct des événements au Moyen-Orient, notamment trois semaines après l'entrée en vigueur de la trêve à Gaza, qui a mis fin, au moins temporairement, à une guerre de 471 jours ayant causé des dizaines de milliers de morts.
Nous suivrons également les derniers développements au Liban, où la période d'application des modalités du cessez-le-feu conclu le 27 novembre dernier entre Israël et le Hezbollah a été prolongée de 22 jours. Nous couvrirons également la situation en Syrie, près de deux mois après la chute du régime Assad.
Nominations, réformes, justice, cessez-le-feu... Quel avenir pour le Liban ?
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« Après la fin des affrontements entre des clans syriens à Hawik, à la frontière entre le Liban et la Syrie, et des éléments des forces de sécurité syriennes ». Faux les affrontements ne font que s’amplifier et c’est le Hezb de la drogue qui a tout provoqué et qui affronte les forces de sécurité syriennes. Joseph Aoun, il est temps d’agir.
18 h 44, le 06 février 2025