
Une enseigne d'al-Qard al-Hassan, affiliée au Hezbollah, le 21 octobre 2024, dans la banlieue sud de Beyrouth, au lendemain d'une frappe israélienne. Photo Mohammad Yassine/L'OLJ
Le bras financier du parti a annoncé la semaine dernière le report au 10 février du paiement des traites de compensation promises aux victimes de la guerre.
OLJ / Par Mounir YOUNES, le 06 février 2025 à 12h04
Une enseigne d'al-Qard al-Hassan, affiliée au Hezbollah, le 21 octobre 2024, dans la banlieue sud de Beyrouth, au lendemain d'une frappe israélienne. Photo Mohammad Yassine/L'OLJ
Bonne analyse et on comprend dans quelle situation lamentable se trouve ce hezb iranien décapité qui a promis monts et merveilles à sa communauté captive. Pas de reconstruction sans mise à l’écart des armes sectaires illégales. A prendre ou à laisser semble-t-il. La détention des Finances dans le nouveau gouvernement ne veut pas dire que le tour est joué et que les combines d’antan sauveront encore le tandem. Cette fois le comportement des ministres sera examiné à la loupe, par les Libanais et aussi par les pays décideurs.
Mais non mais non. Ils sont victorieux. Ils vont financer la reconstruction et indemniser leur micro société. D'ailleurs ils n'ont pas voulu la guerre. Le grand et le petit satans la leur ont imposé. Et ils ont l'Iran ce grand frère prospère qui est florissant qui va aider.
Ça voudrait dire que Salam passe outre la volonté internationale et surtout celle du peuple qui refuse catégoriquement de se farcir encore le tandem destructeur ( et aveuglément gourmand) et supporter encore ce vieux Berry qui nous sort à nous tous par les narines. Il y a toujours ces manœuvres politiques opaques qui caractérisent notre pseudo démocratie, et dont le peuple est mis devant le fait accompli.
Le V de la victoire divine ... ils ont fait détruire le Liban par leur aventurisme et leur inconsistance. Et maintenant ils veulent tenir les cordons de la bourse pour spolier les Libanais et leur faire payer la construction qui est de leur fait. Et il faut trouver ça normal ...
Bonne nouvelle tout ça. Le ministère des finances c’est tout ce qui leur reste et celui-ci ne pourra rien faire sans aides internationales dont les conditions sont connues . On en revient à la quadrature du cercle et tout ça en moins d’un an. Maintenant il faut l’émergence d’une voix Chiite différente et moderne mais surtout Libanaise. Même si celle-ci reste minoritaire lors de la prochaine échéance électorale en 2026. Ce sera le signe que le Liban en entier avance. Il va finalement peut y avoir un espoir après toutes ces années de malheur.
Bonne analyse et on comprend dans quelle situation lamentable se trouve ce hezb iranien décapité qui a promis monts et merveilles à sa communauté captive. Pas de reconstruction sans mise à l’écart des armes sectaires illégales. A prendre ou à laisser semble-t-il. La détention des Finances dans le nouveau gouvernement ne veut pas dire que le tour est joué et que les combines d’antan sauveront encore le tandem. Cette fois le comportement des ministres sera examiné à la loupe, par les Libanais et aussi par les pays décideurs.
10 h 11, le 07 février 2025