
Le président de la République, Joseph Aoun, s'entretenant avec le Premier ministre désigné, Nawaf Salam, à Baabda, le 17 janvier 2025. Photo tirée du compte X de la présidence
À l’issue d’une réunion avec Nabih Berry, le Premier ministre désigné s'attaque à la mise en œuvre d'un cabinet de 24 ministres.
OLJ / Par Yara ABI AKL, le 18 janvier 2025 à 00h00
Le président de la République, Joseph Aoun, s'entretenant avec le Premier ministre désigné, Nawaf Salam, à Baabda, le 17 janvier 2025. Photo tirée du compte X de la présidence
Cet État qu’ils continuent de menacer ne leur a apporté aucun message adressé par les libanais. Celui de quémander leur pardon de leur avoir infligé intimidation et instabilité, accompagnés de terreur et de ruines. Quarante années de nos vies ont été sacrifiés par ces vendus qui osent encore menacer et exiger. Il est temps qu’ils comprennent que l’Etat c’est le peuple, et que tant qu’ils ne seront pas jugés il n’y aurait ni paix ni stabilité. Le temps des fanfaronner est révolu. C’est au peuple mais tant d’exiger et d’imposer ses conditions. Les nouveaux gouvernants n’ont qu’à bien se tenir
SUCCES ? Hmmm ! OU RECUL ? Hmmm !
Ils veulent garder( AMAL) le ministère des FINANCES. D’où cette fausse colère pour faire monter les enchères. J’espère que le nouveau président du conseil ne tombera pas dans ce piège.
La milice criminelle et ses infeodés d'Amal ne représentent pas tous les chiites et si ce n'est les armes dont ils ont le monopole ils n'auraient pas pu faire passer un seul député. Il faut arrêter de leur donner du crédit.
Ce n'est pas une colère, c'est une colère feinte pour faire pression, pour maintenir leur hégémonie pour qu'ils puissent continuer à piétiner le Liban et les Libanais. Ce serait une erreur de continuer à avoir peur, et c'est ce qu'ils veulent à tout prix maintenir, régner par la peur et les assassinats.
Il est temps aussi de changer le chef du parlement Wa choukran
Il faut cesser de parler du mécontentement des chiites comme si Amal et le HB les représentaient. Non les chiites sont très contents du fait que ses deux partis soient enfin écartés naturellement du pouvoir. Ils aspirent à être représentés par leurs élites et non par des mafieux qui ont terni leur image après les avoir ruiné et massacré pour le blanc des yeux des mollahs. Suffit les propagandes à deux sous et les phrases qui prêtent à confusion. Les seuls mécontents et en colère rouge sont les libanais et ils ne faut pas rajouter à leur colère en choyant les fossoyeurs qui ont détruit le pays.
Bon, Berry fait du Berry, c’est-à-dire adapter son discours et ses méthodes à l’air du temps. Du « déjà v(o)u » comme dirait un Américain. Et à Baabda, on pose toujours en fauteuil, une image on ne peut plus statique du pouvoir. Ça change quand?
Victoire? Non! Défaite. "« "Les deux partis chiites donnaient le sentiment de ne pas vouloir se joindre à la future équipe ministérielle". Eh bien! tant mieux! Plus besoin de les écarter: ils se retiraient d’eux-mêmes. Pourquoi donc être allé les relancer? Et que leur a-t-on promis ? L’équipe que formera Salam, pourrait obtenir la confiance du Parlement sans les voix du tandem . "Il n’est pas normal que le Hezbollah et le mouvement Amal restent à l’écart". Mais bien sûr que si! Au contraire! Comment reconstruire le Liban en incorporant à l’équipe gouvernementale ceux qui l’ont détruit?
C’est le tandem chiite qui est en colère , ou bien le reste du pays , pour la débâcle et la ruine dans lesquels le tandem chiite l’a entraîné depuis 23 décennies ? En tous cas , l’on constate aujourd’hui, que la colère a remplacé la menace, et les politiciens au pouvoir ressentent moins de risques sur leur vie . La milice a fini d’occuper quotidiennement le plateau médiatique , un pouvoir légitime réformateur , l’a remplacé . Vivement les prochaines élections législatives , pour balayer les fossiles qui continuent de siéger au parlement
C'est plutôt les Libanais qui doivent être en colère, pas le duo Chiite. Quel culot.
@OLJ Pourquoi ajoutez-vous systématiquement le sobriquet "désigné" à "Premier Ministre" lorsque vous évoquez Nawaf Salam. Il n'est ni élu, ni désigné, ni sortant, ni entrant, ni sorti, ni dehors, ni barra. Il est Premier Ministre, choisi conformément à la constitution. Premier Ministre. Point à la ligne.
Cet État qu’ils continuent de menacer ne leur a apporté aucun message adressé par les libanais. Celui de quémander leur pardon de leur avoir infligé intimidation et instabilité, accompagnés de terreur et de ruines. Quarante années de nos vies ont été sacrifiés par ces vendus qui osent encore menacer et exiger. Il est temps qu’ils comprennent que l’Etat c’est le peuple, et que tant qu’ils ne seront pas jugés il n’y aurait ni paix ni stabilité. Le temps des fanfaronner est révolu. C’est au peuple mais tant d’exiger et d’imposer ses conditions. Les nouveaux gouvernants n’ont qu’à bien se tenir
13 h 56, le 20 janvier 2025