
Benjamin Netanyahu s'entretient avec sa femme Sara lors d'un rassemblement préélectoral au siège du Likoud à Tel-Aviv, en mars 2006. AFP/Gali Tibbon
Entre corruption, détournements de fonds, magouilles et mauvais traitements, le nom de la Première dame israélienne défraie la chronique depuis près de trois décennies.
OLJ / Par Stéphanie KHOURI, le 12 janvier 2025 à 10h10
Benjamin Netanyahu s'entretient avec sa femme Sara lors d'un rassemblement préélectoral au siège du Likoud à Tel-Aviv, en mars 2006. AFP/Gali Tibbon
Commentaire précédent censuré : sans doute trop dur, crime de lèse-majesté. Je me bornerai juste donc à répéter : qui se ressemble s'assemble.
Sara Nethanyaou est un personnage qui revulse la société israélienne et ne représente nullement notre société. Lorsque Bibi ne sera plus 1er Ministre, j'espère qu'ils paieront pour les multiples "cadeaux" et dons d'argent, dont ils ont bénéficié durant l'ensemble de leurs mandats.
Waw
Comparé à nos très grands professionnels locaux
C’est du petit amateurisme (quelques cris contre le personnel et de la futilité de bas étage!)
Elle devrait faire un stage auprès de la classe politique libanaises. Elle apprendra plein de nouvelles astuces pour voler les citoyens, leur voler leurs épargnes ET faire en sorte que ces victimes votent encore et toujours pour ces voleurs....et ce, de leur plein gré tout en se sacrifiant "physiquement" pour eux "Bel Rouh bel Damm nafdik ya..." Elle aura tellement de choses à apprendre...
A comparer avec les nôtres, elle fait office de debutante en la matière
Ces gaspillages de quelques centaines de milliers de dollars ne représentent aucun danger sur les finances et l’économie de notre pays, donc on s’en tape. Par contre les dizaines de millards qui ont été subtilisés par nos politiciens dont personne n’ose parler ont ruiné le peuple et le pays. Non seulement aucun média n’en parle mais en plus ils se donnent le droit de censurer ceux qui les dénoncent et demandent des explications. Les dernières outrances de celle qui s’est autoproclamée première dame qui est allée monnayer les ruines du mono à bas prix, Mme Berry, est passé sous silence. Alors?
Commentaire précédent censuré : sans doute trop dur, crime de lèse-majesté. Je me bornerai juste donc à répéter : qui se ressemble s'assemble.
15 h 38, le 13 janvier 2025