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Moyen-Orient - ENTRETIEN EXPRESS

En Syrie, pas de perspective de rapprochement avec l’Union européenne

Le président Bachar el-Assad a nommé samedi un nouveau Premier ministre, sous sanctions européennes. Le chercheur Mohsen al-Moustafa fait le point.

En Syrie, pas de perspective de rapprochement avec l’Union européenne

Le président syrien, Bachar el-Assad, lors d'une prière commémorant la naissance du prophète Mahomet, à Damas. Photo diffusée par l'agence de presse officielle syrienne (SANA) le 15 septembre 2024/AFP

Sa nomination intervient deux mois après la victoire jouée d’avance du parti Baas aux élections législatives syriennes organisées dans les zones gouvernementales. Le président Bachar el-Assad a confié samedi à Mohammad Ghazi Jalali la tâche de former un gouvernement, alors que le pays, englué dans une multitude de crises, a été entraîné dans la guerre à Gaza depuis le 7 octobre 2023. Originaire du Golan occupé par Israël, le nouveau chef de l’exécutif né à Damas en 1969 a occupé par le passé plusieurs postes au sein du régime, notamment en tant que ministre des Communications et de la Technologie (2014-2016). À l’image de son prédécesseur, Mohammad Ghazi Jalali fait l’objet depuis 2014 de sanctions européennes pour avoir partagé, en tant qu’ancien membre du gouvernement, « la responsabilité de la répression violente exercée par le régime...
Sa nomination intervient deux mois après la victoire jouée d’avance du parti Baas aux élections législatives syriennes organisées dans les zones gouvernementales. Le président Bachar el-Assad a confié samedi à Mohammad Ghazi Jalali la tâche de former un gouvernement, alors que le pays, englué dans une multitude de crises, a été entraîné dans la guerre à Gaza depuis le 7 octobre 2023. Originaire du Golan occupé par Israël, le nouveau chef de l’exécutif né à Damas en 1969 a occupé par le passé plusieurs postes au sein du régime, notamment en tant que ministre des Communications et de la Technologie (2014-2016). À l’image de son prédécesseur, Mohammad Ghazi Jalali fait l’objet depuis 2014 de sanctions européennes pour avoir partagé, en tant qu’ancien membre du gouvernement, « la responsabilité de la...
commentaires (1)

Tant que ce pouvoir sera maintenu en place par les décideurs internationaux et tant que la Syrie restera un état paria a la souveraineté limitée et contrôle par 2 parrains eux-mêmes faillis. La Syrie a maintenant remplacé le Liban au niveau de boite à lettre des règlements de compte régionaux. Il n’y a rien de bon qui ne soit jamais arrive de notre voisin à l’Est donc autant fortifier nos frontières et regarder dans d’autres directions

Liban Libre

15 h 19, le 17 septembre 2024

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Commentaires (1)

  • Tant que ce pouvoir sera maintenu en place par les décideurs internationaux et tant que la Syrie restera un état paria a la souveraineté limitée et contrôle par 2 parrains eux-mêmes faillis. La Syrie a maintenant remplacé le Liban au niveau de boite à lettre des règlements de compte régionaux. Il n’y a rien de bon qui ne soit jamais arrive de notre voisin à l’Est donc autant fortifier nos frontières et regarder dans d’autres directions

    Liban Libre

    15 h 19, le 17 septembre 2024

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