« On m’a renvoyé du paradis à l’enfer » : le périple des Syriens contraints de rentrer dans leur pays
Au moins 430 Syriens auraient été déportés par la Sûreté générale libanaise depuis le début de l’année et près de 2 800 autres auraient été expulsés par l’armée par voie terrestre, assurent des sources humanitaires.
Des familles syriennes faisant leurs adieux avant d’embarquer à bord d’un convoi de « retour volontaire », le 14 mai 2024 à Ersal, dans le caza de Baalbeck. Photo Mohammad Yassine
Khaled, 37 ans, a vécu une étrange odyssée. L’année dernière, ce chauffeur routier syrien, établi au Liban depuis 2017, s’est brutalement fait expulser après avoir été arrêté à un barrage de l’armée à Kahalé (Mont-Liban). Khaled, qui n’avait pas...
Khaled, 37 ans, a vécu une étrange odyssée. L’année dernière, ce chauffeur routier syrien, établi au Liban depuis 2017, s’est brutalement fait expulser après avoir été arrêté à un barrage de l’armée à Kahalé (Mont-Liban). Khaled, qui n’avait pas...
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Nous n’avons pas compris le but de cet article. Les libanais poussés hors de chez eux ne vivent pas dans le luxe et beaucoup d’entre dans leur propre pays, n’ont pas de quoi nourrir leur famille. Alors au lieu de regarder les misères des autres citoyens du monde occupez-vous à ECOUTEZ les libanais qui n’ont même pas de quoi manger et n’ont pas pas d’eau pour se laver depuis 6 jours, et juste quelques heures d ‘électricité pour acheter leur silence, et ce dans les quartiers les mieux placés de Beyrouth.
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Nous n’avons pas compris le but de cet article. Les libanais poussés hors de chez eux ne vivent pas dans le luxe et beaucoup d’entre dans leur propre pays, n’ont pas de quoi nourrir leur famille. Alors au lieu de regarder les misères des autres citoyens du monde occupez-vous à ECOUTEZ les libanais qui n’ont même pas de quoi manger et n’ont pas pas d’eau pour se laver depuis 6 jours, et juste quelques heures d ‘électricité pour acheter leur silence, et ce dans les quartiers les mieux placés de Beyrouth.
Sissi zayyat
16 h 32, le 08 août 2024
Notre compassion va d'abord vers nos compatriotes. Il y a malheureusement beaucoup de misère en ce bas monde, mais les Libanais n'en sont pas responsables. Ils ont déjà du mal à faire face à leurs propres problèmes. Ils ne peuvent pas supporter en plus les problèmes du reste de la planète. En l'occurrence pour les personnes mentionnées dans cet article, elles sont sujettes à la loi Libanaise et doivent retourner dans leur pays, aussi misérable qu'il puisse être. Nous ne ressentons pas une once de culpabilité malgré l'article.
K1000
16 h 26, le 08 août 2024
"Chacun chez soi et les vaches seront bien gardées". (proverbe paysan)
Zoulou
12 h 25, le 08 août 2024
« Il n’y a pas d’avenir pour moi ici, je vivais beaucoup mieux au Liban". Malheureusement, le Liban d'aujourd'hui ne peut pas se permettre d'accueillir des migrants économiques
Tony Chaaya
11 h 54, le 08 août 2024
Le seul pays solidaire du Liban, qui n'a pas demandé à ses citoyens de quitter le Liban, c'est la Syrie.... Quel bel exemple de solidarité !!!
Nous n’avons pas compris le but de cet article. Les libanais poussés hors de chez eux ne vivent pas dans le luxe et beaucoup d’entre dans leur propre pays, n’ont pas de quoi nourrir leur famille. Alors au lieu de regarder les misères des autres citoyens du monde occupez-vous à ECOUTEZ les libanais qui n’ont même pas de quoi manger et n’ont pas pas d’eau pour se laver depuis 6 jours, et juste quelques heures d ‘électricité pour acheter leur silence, et ce dans les quartiers les mieux placés de Beyrouth.
16 h 32, le 08 août 2024