Politique - Éclairage
Pourquoi Israël hésite encore à lancer une opération de grande ampleur au Liban
Cinq raisons pour lesquelles l'État hébreu pèse encore le pour et le contre.
OLJ / Par Jeanine JALKH, le 20 juin 2024 à 20h47
Cinq raisons pour lesquelles l'État hébreu pèse encore le pour et le contre.
OLJ / Par Jeanine JALKH, le 20 juin 2024 à 20h47
Lecture des analyses sur ce point:""Si Israël ne parvient pas à détruire le Hamas, comment peut-il espérer vaincre le Hezbollah, qui est considéré comme étant dix fois plus puissant ? "" avec "Libé "de jeudi dernier je cite : ""Alors qu’il est sur le point d’atteindre ses objectifs militaires à Rafah…"" D’abord, qui nous dit qu’Israël a mis tout son poids à Gaza ? La force du Hezb, n’est pas son arsenal. C’est la force d’un faible qui réussit la guerre, quand les grandes armées de pays arabes en paix ne parvenaient pas à susciter la moindre inquiétude, et à infliger une "débâcle diplomatique".
Pour les personnes évacuées, d’un côté ou de l’autre de Naqoura, on se demande qui sont les mieux logées. Mais pour les plans B ou C ou X, tout dépend aussi d’une diplomatie active…
Les ""Cinq raisons pour lesquelles l'État hébreu pèse encore le pour et le contre"", sont à discuter dans quelques cas précis. Le narratif qui s’en suit laisse croire à une victoire antérieure du Hezb national et qu’Israël tente à tout prix pour qu’il ne réédite le même exploit. Que sait-on des décisions de l’Etat-major du Hezb ou de celui d’Israël ? Tous les deux, déclarent parfois sur le mode de la gesticulation, que pour bien faire la paix, on se prépare à la guerre. J’ai encore la guerre de 2006 en mémoire : qui a imposé ses désidératas à la fin ?
On peut disserter sur les raisons de la volonté actuelle d'Israël de mener une guerre de grande ampleur pour en finir avec les affidés de l’Iran, il serait insensé de croire que leur décision est ferme et définitive. Il voit le manège des mollahs pour gagner du temps et de s’imposer par les menaces et la terreur dans la région jusqu’à l’obtention de leur bombe et ainsi pouvoir menacer le monde si par malheur tous les pays puissants ne céderaient à leur caprices. Ils ne laisseraient pas faire, c’est clair comme l’eau de roche
Une expression américaine: « it is not the size of the man in the fight but the size of the fight in the man »
L’attaque sur Gaza résultat. 1/2 million d’Israéliens ont émigré. Une attaque sur le Liban résulter dans la mentalité israélienne à 1 million d’émigrés. Pour les politicien cyniques 40000 palestiniens mort. Un demi millions d’immigrés Israéliens. 80 000 morts en plus un autre million. Où est l’avenir d’Israël dans tout ça.
La jouissance de tuer est connue comme étant sans limites, puisque son rôle est de ne pouvoir être contrainte que par la contre force de l’ennemi. Celui qui y a goûté ne peut s’empêcher de continuer même jusqu’à sa mort éventuelle. C’est pour ça que le politique doit mener le militaire. Mais Israël est une armée qui n’a pas de société civile ou plutôt dont la société civile a été asservie par le projet de conquête. Son Thanatos, son désir de tuer, n’a pas connu de contraire. Il reste irrépressible.
Excellent article Sans l’aide des yankees ( qui ne souhaitent pas du tout une guerre) l’ennemi sait trés bien que le Hezb sera capable de faire mal..
EQUITE ! VERITE ! - C,EST QU,IL SAIT BIEN LE YAHU, - PAS D,ESBROUFE DU BARBU. - ET S,IL CHOISIT LA MESURE, - IL MET EN JEU SA FIGURE. - LE HEZB N,EST PAS LE HAMAS, - *OU ILS SONT PIEGES LABAS*, - TSAHAL EST EN GRAND DILEMME. - S,IL SE LANCE IL RISQUE MEME, - A LA PLACE DU DJEBEL, - DE VOIR BRULER ISRAEL. - TOUT N,EST PAS FANFARONNADE, - S,IL JOUE LA GRANDE ESCALADE.
Lecture des analyses sur ce point:""Si Israël ne parvient pas à détruire le Hamas, comment peut-il espérer vaincre le Hezbollah, qui est considéré comme étant dix fois plus puissant ? "" avec "Libé "de jeudi dernier je cite : ""Alors qu’il est sur le point d’atteindre ses objectifs militaires à Rafah…"" D’abord, qui nous dit qu’Israël a mis tout son poids à Gaza ? La force du Hezb, n’est pas son arsenal. C’est la force d’un faible qui réussit la guerre, quand les grandes armées de pays arabes en paix ne parvenaient pas à susciter la moindre inquiétude, et à infliger une "débâcle diplomatique".
14 h 49, le 23 juin 2024