Blinken au Moyen-Orient la semaine prochaine pour promouvoir la proposition de cessez-le-feu : Jour 245 de la guerre de Gaza

Nous vous remercions d'avoir suivi notre couverture en direct de la guerre entre le Hamas et Israël.

Nous poursuivrons notre couverture du conflit dès demain matin.

Des tirs d'artillerie israéliens ont visé les abords de Rachaya el-Foukhar (caza de Hasbaya), rapporte notre correspondant au Liban-Sud.

Des drones israéliens ont également pris pour cible la périphérie de Kfar Hamam (également à Hasbaya).

L'armée israélienne a indiqué avoir mené une frappe visant des combattants du Hamas dans une école de l'ONU à Gaza-Ville, le service de presse du gouvernement du Hamas faisant état de trois personnes tuées dans l'établissement.

Selon l'armée israélienne, la frappe visait des "terroristes" du mouvement islamiste qui opéraient depuis un conteneur situé dans l'enceinte d'une école gérée par l'Agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) dans le camp de réfugiés de Chati, dans la ville de Gaza (nord).

Le mois dernier, l'acteur George Clooney a contacté Steve Ricchetti, l’un des conseillers du président américain Joe Biden, pour se plaindre des critiques du président à l'égard de l’initiative de la Cour pénale internationale (CPI) contre les dirigeants israéliens, rapporte le Washington Post en citant "trois personnes au courant de la conversation".

L'acteur s’est montré contrarié par l’éventualité que l'administration américaine impose des sanctions à la CPI, car son épouse Amal Alameddine Clooney pourrait en faire l'objet, ont déclaré les personnes sous couvert d'anonymat.

Longtemps interpellée sur son « silence » concernant le conflit en cours à Gaza, Amal Clooney a fait partie des huit membres du groupe d’experts en droit international et anciens magistrats de la CPI sollicités en janvier 2024 par le procureur général de la CPI, Karim Khan, pour « l’assister dans son enquête sur la situation dans l’État de Palestine ».

Lire notre article « Amal Clooney soutient la demande de mandat d’arrêt de la CPI » ici.  

Le Hezbollah a affirmé avoir pris pour cible des positions de tir de l'artillerie israélienne à « Khirbet Maar », face au village frontalier libanais de Boustane (caza de Tyr) et sur un déploiement de soldats israéliens à proximité.

Il a également affirmé avoir pris pour cible un véhicule militaire au niveau du site israélien de Birket Riché.

Le maire de la ville de Nousseirat, dans le centre de la bande de Gaza, a été tué dans une frappe israélienne jeudi soir avec quatre autres personnes, a indiqué à l'AFP l'hôpital où les corps ont été admis.

Plus de détails ici.

Le secrétaire d'État américain Antony Blinken se rendra au Moyen-Orient la semaine prochaine, a annoncé le département d'État américain cité par Reuters.

Il s’agit de sa huitième visite dans la région depuis le 7 octobre. Il doit se rendre en Égypte, en Israël, en Jordanie et au Qatar et s'entretiendra avec leurs dirigeants.

Israël a été notifié de son ajout à la "liste de la honte" de l'ONU sur les droits des enfants lors de conflits, a annoncé l'ambassadeur israélien, se disant "choqué et écoeuré" de la décision du secrétaire général Antonio Guterres.

"C'est une décision immorale qui aide le terrorisme et récompense le Hamas. Le seul qui est placé sur une liste noire aujourd'hui est le secrétaire général. Honte à lui!", a déclaré Gilad Erdan, alors que la publication officielle du rapport annuel mettant cette liste à jour est attendue d'ici fin juin.

Après un calme inhabituel au Liban-Sud depuis ce matin, des tirs d'artillerie israéliens ont visé la périphérie de Naqoura (caza de Tyr), ont indiqué des habitants à notre correspondant.

Le Croissant-Rouge palestinien a annoncé sur X avoir commencé à préparer et faire fonctionner son hôpital de campagne, Al-Qods, après l'avoir déplacé de la zone d'al-Mawasi à Rafah à la zone d'al-Mawasi à Khan Younès.

Cette annonce intervient après que le Croissant-Rouge a signalé que ses équipes avaient évacué al-Mawasi (Rafah) le 29 mai, en raison des menaces croissantes de l'armée israélienne et des bombardements israéliens.

Le Commandement central des États-Unis a déclaré qu'il avait rétabli l'embarcadère temporaire à Gaza, ce qui permettra l'acheminement de l'aide humanitaire vers l'enclave déchirée par la guerre.

« Dans les jours à venir, le Centcom facilitera l'acheminement de denrées alimentaires vitales et d'autres fournitures d'urgence, en soutien à l'Agence américaine pour le développement international », a déclaré le commandement dans un communiqué.

Benny Gantz, membre du cabinet de guerre israélien, tiendra une conférence de presse samedi soir à 20h40 et devrait annoncer sa démission du gouvernement, rapportent des médias israéliens.

Son discours coïncide avec l'expiration du délai qu'il a fixé au Premier ministre Benjamin Netanyahu pour sa démission. À la suite de la controverse sur le projet de loi d'exemption pour les ultra-orthodoxes et sur la conduite de la guerre, M. Gantz a estimé le mois dernier que les considérations personnelles et politiques ont commencé à s'infiltrer dans la sécurité d'Israël, rapporte le média israélien Ynet news.

Il a exigé que « le cabinet de guerre formule un plan global avec six objectifs », faute de quoi sa faction centriste démissionnerait du gouvernement.

Selon l'organisation yéménite de défense des droits humains Mayyun, au moins 18 Yéménites ont été enlevés jeudi par des services de sécurité dans quatre régions contrôlées par les houthis. Une source diplomatique s'exprimant sous couvert d'anonymat a confirmé à l'AFP l'enlèvement d'une dizaine d'employés dans différentes agences onusiennes.

Les houthis "ont attaqué les maisons et kidnappé des membres du personnel des Nations unies et d'autres organisations internationales", a affirmé l'ONG Mayyun. Cette "grave escalade (...) constitue une violation des privilèges et de l'immunité du personnel des Nations unies", a-t-elle ajouté, en dénonçant "un chantage visant à obtenir des gains politiques et économiques".

Photo diffusée par le bureau de presse du Hezbollah

Le chef du conseil religieux du Hezbollah, le cheikh Mohammed Yazbeck a déclaré que le parti chiite et ses alliés "définissent aujourd'hui les règles" pour Israël et restent "aux aguets" si l'État hébreu les transgresse. Il a tenu ces propos lors de son sermon du vendredi dans la ville de Baalbeck.

Al-Masirah TV, le principal organe d'information télévisé du mouvement houthi du Yémen, a déclaré vendredi que les forces américaines et britanniques avaient mené quatre frappes aériennes sur l'aéroport de Hodeidah et le port maritime de Salif, dans le nord du pays, selon Reuters.

"Israël devrait suspendre l'approvisionnement en carburant de Gaza et réduire l'aide humanitaire qui entre dans la bande", a déclaré le ministre israélien de la sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, dans un message publié sur X.

Quelques jours après la reconnaissance officielle de l'Etat palestinien par la Slovénie, après l'Espagne, la Norvège et l'Irlande, un nouveau sondage réalisé par l’institut international YouGov révèle qu'environ 40 % des Allemands pensent que leur gouvernement devrait reconnaître l'Etat de Palestine, rapporte Al Jazeera, dont l’information a été reprise par plusieurs médias.

26 % des personnes interrogées sont opposées à cette décision, tandis que 33 % ne sont pas sûres.

Selon une déclaration de son chancelier Olaf Scholz le 24 mai dernier, les autorités allemandes considèrent n’avoir « aucune raison de reconnaître l'Autorité palestinienne en tant qu'État distinct maintenant », ajoutant que les conditrions étaient loin d’être réunies pour une « solution négociée entre Israël et les Palestiniens qui équivaut à une solution à deux États ».

Depuis vendredi matin, Reuters rapporte qu'au moins 23 Palestiniens ont été tués dans des bombardements aériens et des frappes de chars israéliens dans le centre et le sud de la bande de Gaza.

Les frappes israéliennes ont tué huit Palestiniens et en ont blessé plusieurs autres, dont des enfants à Rafah, selon les médecins.

L'armée israélienne a déclaré avoir tué des « dizaines » de militants appartenant à des factions palestiniennes, découvert de nouveaux tunnels et détruit des infrastructures militantes au cours d'opérations à al-Bureij et Deir al-Balah dans le centre de la bande de Gaza.

⚡ Plus de 36 731 Palestiniens ont été tués et 83 530 ont été blessés lors de l'offensive militaire israélienne sur Gaza depuis le 7 octobre, a déclaré le ministère de la santé de Gaza dans un communiqué vendredi, cité par l'AFP.

Quelque 77 Palestiniens ont été tués et 221 blessés au cours des dernières 24 heures, a ajouté le ministère.

Selon le Haaretz, le secrétaire du cabinet du Premier ministre Benjamin Netanyahu a répondu aux appels du procureur général israélien l'exhortant à créer une commission d'enquête d'État sur la guerre à Gaza, en déclarant que "le moment n'était pas encore venu" d'entamer une enquête sur ces événements.

⚡ Les houthis du Yémen détiennent au moins 9 employés de l'ONU ainsi que d'autres personnes, selon des responsables yéménites cités par Associated Press. Reuters annonce au moins 15 personnes détenues.

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Benny Gantz, membre du cabinet de guerre israélien, pourrait démissionner du gouvernement israélien samedi, après l'expiration d'un délai qu'il avait fixé le mois dernier pour l'élaboration d'un plan clair "permettant de remporter la victoire" à Gaza, selon plusieurs médias citant le radiodiffuseur public israélien KAN.

Si Benny Gantz a l'intention de présenter sa démission parce qu'il n'a pas réussi à formuler le plan spécifié, les familles des prisonniers israéliens à Gaza ont exhorté M. Gantz à ne pas le faire tant qu'un accord d'échange de prisonniers n'aura pas été conclu avec le Hamas, a ajouté radio Kan.

Le gouvernement de Banjamin Netanyahu a programmé une discussion ministérielle élargie dimanche, soit juste après la date limite que M. Gantz s'est imposée.

Photo fournie par le bureau de presse Hezbollah

Le député du Hezbollah Hassan Ezzedine a déclaré que les négociations pour une trêve à Gaza n'avaient pas de chance d'aboutir tant qu'Israël n'acceptait pas les demandes palestiniennes en faveur d'un cessez-le-feu permanent et du retrait des troupes israéliennes de la bande de Gaza.

Le député s'exprimait lors d'une cérémonie dans le village d'Abbasiyé (caza de Tyr) en l'honneur d'un combattant du Hezbollah récemment été tué lors des échanges de tirs à la frontière entre le Liban-Sud et le nord d'Israël.

Abordant la question du front libanais, il a ajouté que le parti chiite avait fait des progrès en termes de précision et avait également optimisé la puissance de ses frappes. 

Photo Bachar TALEB/AFP

Des Palestiniens en deuil portent le corps d'une victime d'un bombardement israélien, à l'extérieur d'un hôpital à Deir el-Balah, dans le centre de la bande de Gaza, le 7 juin 2024. 

Le chômage dans la bande de Gaza a atteint près de 80 % depuis le début de la guerre avec Israël en octobre dernier, a déclaré vendredi l'agence des Nations Unies pour l'emploi, portant le taux de chômage moyen dans les territoires palestiniens à plus de 50 %, selon Reuters.

Le chômage dans la bande de Gaza a atteint 79,1 %, tandis qu'en Cisjordanie, le taux de chômage a atteint près de 32 %, a indiqué l'Organisation internationale du travail (OIT) dans sa quatrième évaluation de l'impact de la guerre sur l'emploi. 

« Ce chiffre ne tient pas compte des Palestiniens qui ont renoncé à trouver un emploi », a déclaré Ruba Jaradat, directrice régionale de l'OIT pour les États arabes. "La situation est bien pire."

Selon le Washington Post, qui s'est entretenu avec cinq experts en armes et munitions, la bombe utilisée lors de l'attaque israélienne contre une école de l'Unrwa hier était très probablement une GBU-39, une bombe fabriquée par Boeing aux États-Unis.

L'armée israélienne a affirmé qu'elle visait deux responsables du Hamas basés dans l'école et qu'elle utilisait des bombes plus petites et plus précises afin de minimiser les pertes civiles.

Cependant, Wes J. Bryant, ancien spécialiste du ciblage au sein de l'armée de l'air américaine, a déclaré que même si le Hamas était supposé être actif dans l'école, le fait que des civils y vivent "place automatiquement la cible au niveau de risque le plus élevé possible en termes de dommages collatéraux et de victimes civiles".

M. Bryant a ajouté que, si les États-Unis dirigeaient l'opération, "un programme de ciblage officiel aurait été élaboré et soumis à l'approbation des échelons les plus élevés du commandement militaire, étant donné que l'estimation des pertes civiles serait extrêmement élevée. Il est très probable qu'il n'aurait pas été approuvé".

Nouveau point sur la situation à la frontière entre le Liban-Sud et le nord d'Israël :

* Vers 8h, l'armée israélienne a affirmé avoir bombardé des "immeubles appartenant au Hezbollah dans plusieurs endroits au Liban-Sud", selon le Haaretz.

* Vers 9h30, l'armée israélienne a tiré trois obus sur Naqoura, dans le caza de Tyr.

Le président américain Joe Biden a déclaré jeudi soir à ABC News qu'il pensait que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avait pris en compte les préoccupations américaines concernant une opération militaire dans la ville de Rafah, au sud de la bande de Gaza.

"Je pense qu'il m'écoute. Ils allaient entrer dans [...] Rafah [...] de plein fouet, envahir tout Rafah, entrer dans la ville, la prendre, bouger, bouger avec toute la force. Ils ne l'ont pas fait", a déclaré M. Biden. « Et ce qu'ils ont fait, c'est qu'ils ont accepté un accord significatif", a ajouté M. Biden, faisant référence à la proposition israélo-américaine en trois étapes qu'il a dévoilée en début de semaine.

Enfin, le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a appelé jeudi soir à la cessation des hostilités le long de la ligne de démarcation fixée par les Nations unies entre Israël et le Liban, s'inquiétant d'un risque de "conflit plus large aux conséquences dévastatrices pour la région".

"Alors que les échanges de feu continuent autour de la Ligne bleue, le secrétaire général appelle à nouveau les parties à un cessez-le-feu urgent", a déclaré son porte-parole Stéphane Dujarric dans un communiqué.

Toujours au Liban-Sud, plusieurs incidents ont été répéertoriés pendant la nuit, selon des sources sécuritaires :

* Après 21h jeudi, des tirs d'artillerie israéliens ont visé les périphéries d'el-Boustane, Dhaïra et Alma el-Chaab, trois localités du caza de Tyr. 

* Vers 22h, l'artillerie israélienne a ciblé Yarine et Jibbein, dans le même caza. L'association des scouts al-Rissala, affiliée au mouvement Amal, a indiqué être en train d'intervenir pour éteindre un incendie provoqué par un bombardement israélien avec des munitions au phosphore blanc à Kfar Kila (Marjeyoun).

* Vers 23h30, le Hezbollah a annoncé dans un communiqué avoir bombardé à 23h15 un déploiement de soldats de l'ennemi israélien à proximité de la caserne de Zar'it face à Marwahine, dans le caza de Tyr.

* Vers minuit, un femme a été hospitalisée après s'être évanouie à Kharayeb (Tyr) sous l'effet du bruit produit par des avions israéliens passant le mur du son.

* Vers 1h du matin, des avions de guerre israéliens ont bombardé une maison dans la ville de Kafr Kila, et des ambulances se sont dirigées vers la zone ciblée.

A la frontière entre le Liban-Sud et le nord d'Israël, où le Hezbollah et l'armée israélienne échangent des tirs depuis le 8 octobre, un calme précaire régnait ce matin, selon notre correspodnant dans la région Mountasser Abdallah, citant des sources sécuritaires.

Les hostilités étaient montées en intensité cette semaine. Jeudi, le Hezbollah a en outre affirmé être parvenu à repousser pour la première fois un avion de chasse israélien.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu prononcera un discours devant le Congrès américain à Washington le 24 juillet, a indiqué jeudi à l'AFP une source parlementaire.

L'invitation a été adressée fin mai au dirigeant israélien par les chefs parlementaires républicains et démocrates, en pleine guerre à Gaza.

Des médias américains avaient rapporté lundi que M. Netanyahu devait prononcer ce discours le 13 juin. Mais le bureau du Premier ministre israélien avait nié cette information, indiquant que la date n'avait "pas été finalisée".

L'invitation survient après des mois de malaise de l'administration du président américain Joe Biden face à la conduite de la guerre menée par Israël dans la bande de Gaza, en riposte à l'attaque du Hamas du 7 octobre.

En attendant, Israël poursuit sans répit son offensive contre le Hamas dans la bande de Gaza. Outre la frappe sur l'école de l'Unrwa, des témoins ont également indiqué que des tirs de roquettes avaient eu lieu dans le centre de la bande de Gaza.

Selon une source locale, des avions israéliens ont aussi mené plusieurs frappes dans l'est et le centre de la ville de Rafah, située dans le sud, à la frontière avec l'Égypte, où l'armée israélienne a lancé des opérations terrestres début mai.

Au moins 36.654 Palestiniens, essentiellement des civils, ont été tués depuis le 7 octobre dernier, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement de Gaza dirigé par le Hamas.

A la veille de l'entrée dans le neuvième mois de la guerre entre Israël et le Hamas, le président américain Joe Biden et 16 autres dirigeants ont exhorté le Hamas à accepter un accord de cessez-le-feu actuellement sur la table.

Le Hamas va présenter sa réponse à cette proposition "dans les jours à venir", a affirmé jeudi un "haut responsable" cité par Al-Qahera News, média proche des services de renseignement égyptiens.

Mais les exigences contradictoires des deux camps laissent cependant peu d'espoir de voir le plan annoncé par Joe Biden le 31 mai. Il 'agit d'une feuille de route proposée selon lui par Israël qui prévoit, dans une première phase, un cessez-le-feu de six semaines accompagné d'un retrait israélien des zones densément peuplées de Gaza, de la libération de certains otages enlevés par le Hamas et de prisonniers palestiniens détenus par Israël.

Un haut responsable du Hamas a déclaré jeudi qu'il n'y avait pas de "nouvelle proposition" de cessez-le-feu.

Pour commencer, la situation à Gaza, où un hôpital a fait état jeudi de la mort d'au moins 37 personnes dans un bombardement contre une école de l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa). Environ 6.000 déplacés se trouvaient dans cette école située dans la région de Nousseirat" (centre).

 L'armée israélienne a revendiqué cette frappe qui visait, selon elle, "une base du Hamas".

Le chef de l'Unrwa Philippe Lazzarini a affirmé qu'Israël avait frappé "sans avertissement préalable" l'école, transformée en abri pour la population déplacée par les combats.

Bonjour !

Nous sommes au 245e jour de la guerre dans la bande de Gaza. Il s'agit également du 244e jour depuis l'ouverture d'un front au Liban-Sud entre le Hezbollah et l'armée israélienne.

Retrouvez ici notre couverture en direct du conflit et ses répercussions dans la région.