Amel Association International (Amel) a organisé son assemblée générale annuelle afin d’élire le conseil administratif et de passer en revue les rapports d’activité ainsi que le bilan financier de l’association. Le nouveau conseil administratif est composé du Dr Kamel Mohanna, président et représentant de l’association auprès du gouvernement, du Dr Albert Jokhdar, vice-président, du Dr Ibrahim Baydoun, secrétaire de l’association, de Qasim Aloush, responsable santé, Virginie Lefebvre, responsable affaires sociales, du Dr Ziad Naja, responsable éducation, de Jamal Ghabril, responsable relations publiques, du Dr Darwish Shaghouri, responsable maternité et petite enfance, de la Dr Zeina Mohanna, responsable affaires culturelles et recherche, d’Ahmad Abboud, responsable financier, ainsi que de Mohsen Zein al-Din et de Nabil Mansour al-Mashmoushi, conseillers.

Le Dr Mohanna a passé en revue les défis que Amel a relevés au cours de l’année 2023, marquée par les tremblements de terre en Syrie et en Turquie, les événements du 7 octobre et l’escalade sécuritaire au Liban-Sud. Malgré ce contexte très difficile, l’association a notamment mené à bien une campagne de vaccination contre le choléra à travers le Liban, entamé la construction d’une école d’infirmières à Machghara, inauguré de nouveaux centres et cliniques mobiles et lancé l’initiative du navire Mgr Hilarion Capucci transportant une cargaison d’aide humanitaire vers Gaza. Parallèlement, Amel a renforcé la coordination entre ses diverses branches à l’étranger. L’association a également parlé de ses projets, dont la création des départements recherche et affaires culturelles, des initiatives d’autofinancement, du renforcement de partenariats avec les institutions éducatives et académiques ainsi que des programmes d’implication des jeunes dans le service communautaire.

Plusieurs membres du conseil d’administration ainsi que des amis de l’association ont salué le travail de Amel et souligné les efforts de l’association, qui gère 32 centres, 8 cliniques mobiles, des unités mobiles d’éducation et des unités dédiées à la protection de l’enfance, menés par 1 500 travailleurs engagés en faveur du maintien de la cohésion sociale en dépit d’un contexte difficile.