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Politique - Focus

Un air de redynamisation souffle sur la présidentielle

Le Hezbollah répond par un « oui, mais » à l’initiative de la Modération nationale ; le quintette huile une nouvelle fois ses machines.

Un air de redynamisation souffle sur la présidentielle

L'émissaire français pour le Liban, Jean-Yves Le Drian, et le diplomate américain, Amos Hochstein, à Washington, le 12 avril 2024. Photo tirée du compte X de l'ambassade de France à Beyrouth

Le Hezbollah a (enfin) craché le morceau : oui à un dialogue qui permettrait de tenir la présidentielle… mais à condition que le président de la Chambre, Nabih Berry, le préside. Voilà la réponse officielle du parti chiite à l’initiative élaborée en février dernier par le bloc de la Modération nationale (rassemblant des députés majoritairement sunnites ex-haririens) afin de faciliter la tenue de l’échéance. Dans ces grandes lignes, cette démarche prévoit des concertations parlementaires (informelles) suivies d’une séance électorale ouverte avec des tours de vote successifs jusqu’à ce que le pays soit doté d’un nouveau chef de l’État.Dans la forme donc, la prise de position du parti de Dieu, perçu comme le véritable maître du jeu présidentiel, a de quoi donner du fil à retordre à la Modération nationale, les protagonistes de...
Le Hezbollah a (enfin) craché le morceau : oui à un dialogue qui permettrait de tenir la présidentielle… mais à condition que le président de la Chambre, Nabih Berry, le préside. Voilà la réponse officielle du parti chiite à l’initiative élaborée en février dernier par le bloc de la Modération nationale (rassemblant des députés majoritairement sunnites ex-haririens) afin de faciliter la tenue de l’échéance. Dans ces grandes lignes, cette démarche prévoit des concertations parlementaires (informelles) suivies d’une séance électorale ouverte avec des tours de vote successifs jusqu’à ce que le pays soit doté d’un nouveau chef de l’État.Dans la forme donc, la prise de position du parti de Dieu, perçu comme le véritable maître du jeu présidentiel, a de quoi donner du fil à retordre à la...
commentaires (5)

Que Natanyahou démissionne et tout sera réglé comme par magie !

Chucri Abboud

16 h 33, le 16 avril 2024

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Commentaires (5)

  • Que Natanyahou démissionne et tout sera réglé comme par magie !

    Chucri Abboud

    16 h 33, le 16 avril 2024

  • Bientôt ce problème ne se posera plus. On n’entendra plus parler de Berry ni de HN, leurs heures sont comptées et ça n’est pas pour nous déplaire.

    Sissi zayyat

    10 h 33, le 16 avril 2024

  • Tant qu'il y a un mafieux à la tête du parlement ... et des barbus qui dirigent l'état à quoi sert un président ? si c'est celui qui est consenti par le tandem de malheur, qui est élu, il servira avec difficulté de cache sexe.

    Zeidan

    10 h 22, le 16 avril 2024

  • "Oui à un dialogue qui permettrait de tenir la présidentielle… mais à condition que le président de la Chambre, Nabih Berry, le préside ". Et de quel droit? Il s’agit de quelque chose d’informel, non prévu par la Constitution. Si Berry veut y participer, ce sera en tant que chef de parti, et non en tant que président du Parlement.

    Yves Prevost

    07 h 40, le 16 avril 2024

  • Cessez ce leitmotiv interminable ; vous ne faites qu entretenir les mensonges et les messages frauduleux des politiciens

    Robert Moumdjian

    05 h 06, le 16 avril 2024

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