Le Premier ministre libanais sortant Nagib Mikati a dénoncé mardi soir comme « un crime » la frappe israélienne sur la banlieue de Beyrouth qui a conduit à la mort du numéro deux du Hamas.
Dans un communiqué, il a estimé que « ce nouveau crime israélien vise à entraîner le Liban dans une nouvelle phase de confrontation » avec Israël. Les affrontements entre l'armée israélienne et le Hezbollah, allié du Hamas, étaient jusque là limités aux zones frontalières dans le sud du Liban.
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