
Vue depuis un village de Wadi Khaled dans le Akkar d’où on aperçoit la Syrie. Photo Emmanuel Haddad
Malgré les mesures prises par les autorités visant à empêcher les entrées illégales sur le territoire, des familles entières du Akkar profitent financièrement de ce commerce d’êtres humains.
OLJ / Par Emmanuel HADDAD, le 24 septembre 2023 à 18h56
Vue depuis un village de Wadi Khaled dans le Akkar d’où on aperçoit la Syrie. Photo Emmanuel Haddad
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Voilà pourquoi les ennemis de notre pays refusent que notre armée soit la seule autorisée à contrôler nos frontières. Il y en a qui refusent même que son chef devienne président pour les mêmes raisons. Suivez mon regard. Après ça ils viennent nous vendre leurs patriotisme à deux sous et leur blancheur immaculée. Des racailles propulsées au pouvoir par les citoyens qui ne cessent de leur délivrer des droits de massacrer tout ce qu’ils touchent y compris leurs fans et leurs partisans puisqu’ils font partie du lot à anéantir pour exister.
Trops de ONG et d'administrations publiques son devenues une grande masquerade, (partout dans le monde). Ils dépensent de l'argent là où il n'en faut pas pour s'inventer des postes qui coûtes chers sans riens améliorer. Leurs seul rôles est d'assuré la perpétuité du status quo déplorable. Des "trafiquants de réfugiers" chez nous, en Europe, frontière sud des EU... On dirait la profession culte du 21emme siècle. Au lieu de se concentré sur l'aide des réfugiés, ils est plus logique et efficace de les aider à ne pas s'auto éxilés. Isolé les auteurs de violences et de corruption et assurer les nécessités sanitaires et les possibilités de travails dans leurs pays d'origines. C'est pas plus difficiles que de gérer des millions de familles déplacées.
commentaires (3)
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Yervant Demirjian
18 h 49, le 26 septembre 2023