Rechercher
Rechercher

Dernières Infos - Liban

Un cadre du PSNS brièvement arrêté suite à une affaire de meurtre

Un cadre du PSNS brièvement arrêté suite à une affaire de meurtre

Le logo du Parti syrien national social (PSNS). Photo tirée du site ssnp.online

Les services de renseignement de l’armée libanaise ont brièvement arrêté, lundi, un responsable du Parti syrien national social (PSNS), Ali Arar, pour son implication présumée dans un meurtre survenu la semaine dernière dans la localité de Aïn Kfar Zabad, caza de Zahlé, selon une source du parti et une source sécuritaire interrogées par notre correspondante dans la région, Sarah Abdallah.

Ali Arar, un proche de l'ancien chef du PSNS Assaad Hardane qui s'est séparé il y a quelques temps de la direction centrale du parti, était suspecté d’avoir caché des personnes impliquées dans un meurtre vraisemblablement commis suite à une dispute familiale à Aïn Kfar Zabad et impliquant des hommes de la famille Sarkis. Le responsable du PSNS a été relâché mardi matin après avoir été interrogé, a indiqué une source sécuritaire à L'Orient-Le Jour.

Un porte-parole officiel du parti a toutefois démenti cette information. "Il s’agit d’un conflit familial au village dans lequel le PSNS n'est pas concerné. Ali Arar n'a pas été arrêté à ma connaissance", a-t-il dit.

L’armée a en outre arrêté, mardi, Georges Sarkis et son fils A.S., suspectés d’avoir tué la semaine dernière Marwan Sarkis, un retraité de  la Sûreté générale, et blessé son frère, Bassam Sarkis, ancien chef de la municipalité de Aïn Kfar Zabad. Selon une source proche de cette famille, l'incident pourrait être relié à un conflit familial, Bassam Sarkis ayant été marié à la fille de Georges Sarkis.


Les services de renseignement de l’armée libanaise ont brièvement arrêté, lundi, un responsable du Parti syrien national social (PSNS), Ali Arar, pour son implication présumée dans un meurtre survenu la semaine dernière dans la localité de Aïn Kfar Zabad, caza de Zahlé, selon une source du parti et une source sécuritaire interrogées par notre correspondante dans la région, Sarah...