L'entrée du ministère des Finances à Beyrouth. Photo P.H.B.
C’est désormais devenu une habitude : chaque nouvelle mesure imaginée par le gouvernement sortant pour moduler la fiscalité ou les revenus devient une véritable source d’exaspération pour les entreprises qui tentent de maintenir une comptabilité...
C’est désormais devenu une habitude : chaque nouvelle mesure imaginée par le gouvernement sortant pour moduler la fiscalité ou les revenus devient une véritable source d’exaspération pour les entreprises qui tentent de maintenir une comptabilité...
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Commentaire sur le commentaire: Pire....l'incertitude sur le taux de change qui visiblement est fixé (á nouveau mais via Sayrafa) par BDL. Que se passera t il si le taux revient á disons 15000 LL?
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Commentaire sur le commentaire: Pire....l'incertitude sur le taux de change qui visiblement est fixé (á nouveau mais via Sayrafa) par BDL. Que se passera t il si le taux revient á disons 15000 LL?
Moi
20 h 03, le 15 juin 2023
Je lis votre commentaire et je vous entends quand vous rappelez la situation épouvantable dans laquelle le pays est plongé et qui impacte tant les entreprises que les actifs -salariés et fonctionnaires-, les retraités et les chômeurs sans parler des enfants. Je vous entends aussi quand vous mettez en avant des entreprises citoyennes qui s'acquittent de toutes leurs obligations fiscales et sociales mais le système de protection sociale ne peut pas dépendre de la loyauté de quelques entreprises modèles et doit s'imposer aussi à toutes les autres. Quant aux entreprises qui invoquent l'absence de réformes pour justifier leur opposition à toute taxation, elles cherchent à justifier l'injustifiable. Beaucoup d'entreprises vendent le dollar à 100000 livres et paient des impôts, cotisations et taxes sur la base de 15000 livres. Je ne vois pas comment le pays peut se réformer s'il ne peut pas scolariser ses enfants, soigner ses malades, payer des retraites décentes aux anciens, entretenir les réseaux routier, électrique, hydraulique, etc.
Marionet
17 h 15, le 15 juin 2023
Mais cette hausse du salaire minimum avec son effet cliquet sur les cotisations sociales et l’impôt est indispensable quoi qu’en disent les chefs d’entreprise. Avec quoi financer la hausse du taux de remboursement des médicaments autrement? Sans parler de son effet sur les autres prestations de la sécu, dont la retraite. Certes, les entreprises avaient augmenté les salaires mais sans incidence fiscale: en payant des cotisations calculées selon une parité dollar-livre ridicule et sur la base d’un salaire minimum ridicule. Le réajustement est mimime mais il est indispensable aux finances de l’Etat et au bien-être des assurés sociaux.
commentaires (3)
Commentaire sur le commentaire: Pire....l'incertitude sur le taux de change qui visiblement est fixé (á nouveau mais via Sayrafa) par BDL. Que se passera t il si le taux revient á disons 15000 LL?
Moi
20 h 03, le 15 juin 2023