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Monde - Entretien Express

Au Soudan, « les appels à prendre les armes font craindre une généralisation de la violence »

En première ligne d’un conflit qui ne cesse d’empirer au Soudan, un réseau de jeunes citoyens documente les violations des droits humains commises par les deux camps, en dépit d’un cessez-le-feu peu respecté. Membre du réseau, Charafeddine Youssef fait le point pour « L’Orient-Le Jour ». 

Au Soudan, « les appels à prendre les armes font craindre une généralisation de la violence »

Le général al-Burhane entouré de soldats à Khartoum, le 30 mai 2023. Photo AFP

Ils veillent sur leur pays, envers et contre tout. Plus de 1,3 million de Soudanais ont déjà fui les affrontements féroces entre l’armée régulière du général Abdel Fattah al-Burhane et les Forces de soutien rapide (FSR) du général Mohammad Hamdane Dagalo depuis le 15 avril, qui ont fait plus de 1 800 morts selon l’ONG Acled. Mais le Réseau de jeunes observateurs citoyens disséminés aux quatre coins du pays d’Afrique de l’Est demeure sur place afin de superviser la mise en œuvre de la trêve négociée sous l’égide des États-Unis et de l’Arabie saoudite à Djeddah, prévue pour durer du 22 au 29 mai, puis prolongée de cinq jours.
Mercredi 31 mai, l’armée a suspendu les négociations sur le cessez-le-feu, « parce que les rebelles n'ont jamais appliqué un des points de l'accord de trêve temporaire qui prévoit leur retrait des hôpitaux et des...
Ils veillent sur leur pays, envers et contre tout. Plus de 1,3 million de Soudanais ont déjà fui les affrontements féroces entre l’armée régulière du général Abdel Fattah al-Burhane et les Forces de soutien rapide (FSR) du général Mohammad Hamdane Dagalo depuis le 15 avril, qui ont fait plus de 1 800 morts selon l’ONG Acled. Mais le Réseau de jeunes observateurs citoyens disséminés aux quatre coins du pays d’Afrique de l’Est demeure sur place afin de superviser la mise en œuvre de la trêve négociée sous l’égide des États-Unis et de l’Arabie saoudite à Djeddah, prévue pour durer du 22 au 29 mai, puis prolongée de cinq jours.
Mercredi 31 mai, l’armée a suspendu les négociations sur le cessez-le-feu, « parce que les rebelles n'ont jamais appliqué un des points de l'accord de trêve temporaire qui...
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