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Monde

La Corée du Nord tire un « nouveau type » de missile balistique

Pyongyang a tiré hier un missile balistique d’un « nouveau type », possiblement à combustible solide, selon l’armée sud-coréenne, ce qui marquerait une avancée technologique et stratégique majeure pour le programme d’armement de Pyongyang. Les missiles à combustible solide, que Pyongyang cherche depuis longtemps à mettre au point, sont plus stables et plus rapides à préparer pour un lancement que ceux à combustible liquide, ce qui peut rendre plus difficiles leur détection et leur destruction par les forces américaines. Condamné par les États-Unis, le tir d’hier a déclenché une brève alerte dans l’île nippone de Hokkaido (Nord), à quelques jours de deux réunions du G7 devant se tenir au Japon, avant que Tokyo ne précise que le projectile n’avait pas frappé son territoire. Pékin a de son côté condamné le rôle « négatif » de Washington, jugé responsable du regain de tension dans la péninsule. Depuis le 23 mars, Pyongyang a notamment affirmé avoir mené trois tests d’un « drone sous-marin d’attaque nucléaire » capable de « produire un tsunami radioactif de grande ampleur ».

Pyongyang a tiré hier un missile balistique d’un « nouveau type », possiblement à combustible solide, selon l’armée sud-coréenne, ce qui marquerait une avancée technologique et stratégique majeure pour le programme d’armement de Pyongyang. Les missiles à combustible solide, que Pyongyang cherche depuis longtemps à mettre au point, sont plus stables et plus rapides à...
commentaires (1)

Sans le soutient de la Chine, le dictateur de la Corée du Nord, n'oserait même pas regarder de côté, et n'aurait pas été ce qu'il est. Une façon aussi de comprendre le pourquoi de l'adhésion des régimes régionaux également non démocratiques à la politique chinoise qu'ils jugent sans trop de conviction comme protectrice de leurs intérêts conjoints.

Esber

05 h 37, le 16 avril 2023

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Commentaires (1)

  • Sans le soutient de la Chine, le dictateur de la Corée du Nord, n'oserait même pas regarder de côté, et n'aurait pas été ce qu'il est. Une façon aussi de comprendre le pourquoi de l'adhésion des régimes régionaux également non démocratiques à la politique chinoise qu'ils jugent sans trop de conviction comme protectrice de leurs intérêts conjoints.

    Esber

    05 h 37, le 16 avril 2023

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