Après la décision du Parti démocratique des peuples, à tendance prokurde et troisième force politique du pays, de ne pas présenter de candidat à la présidentielle, la possibilité d’une défaite du reis turc n’a jamais été aussi tangible.
Recep Tayyip Erdogan, vingt ans au pouvoir. Adem Altan/AFP
Diviser l’opposition était un de ses derniers atouts. Le pari est perdu pour Recep Tayyip Erdogan qui risque de se retrouver largement dépassé dans les sondages après que la troisième formation politique du pays, le Parti démocratique des peuples...
Diviser l’opposition était un de ses derniers atouts. Le pari est perdu pour Recep Tayyip Erdogan qui risque de se retrouver largement dépassé dans les sondages après que la troisième formation politique du pays, le Parti démocratique des peuples...
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