Normes antisismiques : « L’État assume la responsabilité des lois qui portent atteinte à la sécurité publique »
Selon le président de l’Ordre des ingénieurs de Beyrouth, Aref Yassine, aucun recensement n’a jamais été effectué quant aux bâtiments en danger d’effondrement au Liban, non conformes ou sauvages (sans permis). Les normes parasismiques sont pourtant imposées dans la loi depuis 2012.
Après le récent tremblement de terre qui a touché la Turquie et la Syrie, faisant plus de 41 000 morts, selon un dernier bilan en date du jeudi 16 février, le président de l’Ordre des ingénieurs de Beyrouth, Aref Yassine, répond aux questions de L’Orient-Le Jour sur les mesures mises en place pour la sécurité des bâtiments au Liban. Et le constat est loin d’être rassurant. Si une législation a bien été adoptée en 2012, rendant contraignantes les constructions parasismiques et anti-incendie, les constructions sauvages pullulent dans différentes régions du pays. Sont montrés du doigt les pouvoirs locaux, municipalités et instances sécuritaires en premier, chargés de faire appliquer la loi et de sanctionner les contrevenants. Également pris en faute, l’État libanais qui n’en finit pas de fermer les yeux sur les irrégularités, accorde des...
Après le récent tremblement de terre qui a touché la Turquie et la Syrie, faisant plus de 41 000 morts, selon un dernier bilan en date du jeudi 16 février, le président de l’Ordre des ingénieurs de Beyrouth, Aref Yassine, répond aux questions de L’Orient-Le Jour sur les mesures mises en place pour la sécurité des bâtiments au Liban. Et le constat est loin d’être rassurant. Si une législation a bien été adoptée en 2012, rendant contraignantes les constructions parasismiques et anti-incendie, les constructions sauvages pullulent dans différentes régions du pays. Sont montrés du doigt les pouvoirs locaux, municipalités et instances sécuritaires en premier, chargés de faire appliquer la loi et de sanctionner les contrevenants. Également pris en faute, l’État libanais qui n’en finit pas de fermer les yeux sur...
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Il faudra avant tout libérer touts les anciens loyers pour ne pas vivre un Fassouh 2 et prendre en considération que les immeubles de Beyrouth la plupart ont plus que 60 ans , il faudra un jour penser à les détruire.
ALLAH YESTERAK YIA LEBNEN MEN CHI HAZZE ARDIYE.
14 h 08, le 17 février 2023