
Des partisans armés du tandem chiite Amal-Hezbollah passent devant les soldats déployés après des affrontements meurtriers dans le quartier de Tayouné, le 14 octobre 2021. Anwar Amro/AFP
La décision du juge d’instruction près la Cour de justice Tarek Bitar de relancer l’enquête sur la double explosion au port de Beyrouth – sur la base d’une interprétation juridique contestant les raisons de sa suspension – et la riposte cinglante du...
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Il manque toujours autant de pragmatisme chez les Libanais. Les politiques pourraient être jugés mais jamais emprisonnés, jamais condamnés. C'est un gaspillage d'énergie et de fonds publics alors qu'on pourrait investir dans les salaires des auxiliaires de justice et dans les locaux des professionnels de la justice
Georges Olivier
22 h 56, le 25 janvier 2023