Équilibrisme à l’irakienne : soigner l’Iran sans froisser le Golfe
Le nouveau chef du gouvernement irakien affirme vouloir « renforcer ses liens » avec les pays arabes, tout en multipliant les signes de proximité avec Téhéran. Pour muer ce grand écart en atout diplomatique, Bagdad devra donner des gages à Riyad, qui multiplie les promesses d’investissements en Irak.
Le président iranien Ebrahim Raïssi (à droite) et le Premier ministre irakien Mohammad Chia el-Soudani, au cours d’une conférence de presse conjointe à Téhéran, le 29 novembre 2022. Photo AFP
Téhéran et Riyad se parleront-ils ? Tel semble être l’enjeu voilé de la seconde conférence de Bagdad qui s’ouvre aujourd’hui à Amman. Officiellement, ce second sommet vise à poursuivre le dialogue entamé lors de la première rencontre qui s’est tenue...
Téhéran et Riyad se parleront-ils ? Tel semble être l’enjeu voilé de la seconde conférence de Bagdad qui s’ouvre aujourd’hui à Amman. Officiellement, ce second sommet vise à poursuivre le dialogue entamé lors de la première rencontre qui s’est tenue...
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