
Heurts entre la police antiémeute et des manifestants à l’extérieur de l’Université Amir Kabir de Téhéran, le 11 janvier 2020. Photo AFP
Si quelques voix se sont élevées au sein des forces de sécurité iranienne sur la politique du tout-répressif du gouvernement, l’appareil sécuritaire reste pour l’instant un fervent défenseur de la République islamique.
OLJ / Par Pauline VACHER, le 19 novembre 2022 à 00h00
Heurts entre la police antiémeute et des manifestants à l’extérieur de l’Université Amir Kabir de Téhéran, le 11 janvier 2020. Photo AFP
AUCUN DESPOTE N,A SURVECU A SES CRIMES. LA PLUPART FURENT EXECUTES PAR LA JUSTICE POPULAIRE.
La plus grande faute c’est la France qui a accepté le criminel khomeini sur la terre française , après c’est le peuple qui a accepté les mollahs di a fait la révolution, ils sont responsables , le pire c’est qu’ils ont un allié au Liban le Hezbollah qui a vendu son pays , si vraiment sont des libanais ?
Même modèle au Liban avec la milice scélérate !
Les résistants iraniens ne peuvent pas offrir que des carottes à ceux qui les répriment. On constate que contrairement par exemple aux Syriens en 2011 qui tenaient à tous prix à leur « selmiyé » et qui se sont fait dépasser dans l’usage du bâton par des groupes armés EXTÉRIEURS aux manifestants, en Iran il n’y a pas de selmiyé et c’est tant mieux. Dès le début les manifestants se défendent avec toutes les armes en leur disposition et ne s’en cachent pas. Et ainsi ils restent maîtres de cette violence et évitent justement que celle-ci soit utilisée par des groupes extérieurs et nuise aux intérêts de la révolution. Et oui dans un régime aussi obtu que celui des mollah (ou des Assad) il faut que les manifestants fassent (intelligemment) un minimum PEUR aux forces répressives pour espérer des défections.
AUCUN DESPOTE N,A SURVECU A SES CRIMES. LA PLUPART FURENT EXECUTES PAR LA JUSTICE POPULAIRE.
15 h 45, le 20 novembre 2022