
Le président Michel Aoun prononçant un discours dimanche avant de quitter le palais de Baabda à la veille de la fin de son sexennat. Anwar Amro/AFP
Le chef de l’État, Michel Aoun, a anglé dimanche une bonne partie de son discours d’adieux sur le président du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) Souheil Abboud, qu’il a attaqué de manière frontale. « Nos gens innocents sont emprisonnés...Aoun’s direct attack on Souheil Abboud sparks outcry in judicial circles...
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Michel Aoun à toujours été un faible. Sa fuite en 1990 en laissant derrière lui ses plus proches soldats. Sans oublier sa famille. De Paris, il fustigeait contre le hezbollah, leurs armes et l'influence Iranienne. En arrivant à Beyrouth, il baise les pieds de Nasrallah et va embrasser le Président Syrien... Lâche depuis toujours! Et il va au plus offrant! Ka2ed Jeich? Mon popotin!
Marwan Takchi
20 h 12, le 02 novembre 2022