Trois femmes revenant des camps de prisonniers jihadistes en Syrie et rapatriées en France jeudi ont été mises en examen pour association de malfaiteurs terroriste criminelle par un juge d'instruction et placées en détention provisoire, a appris l'AFP de source judiciaire.
Ces trois femmes, qui font partie d'un groupe de 15 femmes et 40 enfants qui étaient retenus dans les camps de prisonniers jihadistes dans le nord-est de la Syrie contrôlés par les forces kurdes, faisaient l'objet d'un mandat d'arrêt.
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