Le chef des Marada Sleiman Frangié (à g.) saluant le chef des Forces libanaises Samir Geagea lors de la table du dialogue au palais de Baabda, le 23 juin 2017. Photo Dalati et Nohra
La présidentielle : toute la classe politique libanaise n’a plus que ce mot à la bouche. Le contexte politique et économique dans lequel se déroulera le scrutin a quelque chose d’inédit, d’autant que le pays pourrait se retrouver pour la première fois de son histoire dans une situation de vacance présidentielle avec un gouvernement intérimaire. Deux types d’élection présidentielle ont prévalu dans l’histoire du Liban depuis son indépendance. Celles où l’identité du président était décidée au préalable et celles où cela s’est joué dans les derniers instants. Dans le premier cas, on peut citer par exemple l’élection de Camille Chamoun en 1952 ou celle de Fouad Chéhab en 1958. D’autres, à l’instar de Sleiman Frangié en 1970 ou d’Élias Sarkis en 1976, ont remporté l’élection à « une voix près », au dernier moment. L’élection...
La présidentielle : toute la classe politique libanaise n’a plus que ce mot à la bouche. Le contexte politique et économique dans lequel se déroulera le scrutin a quelque chose d’inédit, d’autant que le pays pourrait se retrouver pour la première fois de son histoire dans une situation de vacance présidentielle avec un gouvernement intérimaire. Deux types d’élection présidentielle ont prévalu dans l’histoire du Liban depuis son indépendance. Celles où l’identité du président était décidée au préalable et celles où cela s’est joué dans les derniers instants. Dans le premier cas, on peut citer par exemple l’élection de Camille Chamoun en 1952 ou celle de Fouad Chéhab en 1958. D’autres, à l’instar de Sleiman Frangié en 1970 ou d’Élias Sarkis en 1976, ont remporté l’élection à...
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22 h 04, le 20 juillet 2022